Famillle • Il paraît que la fête des Mères menace la paix sociale…
par Marie Delarue
Une réflexion [Boulevard Voltaire du 27.04] sur l'indigne projet de remplacement de la Fête des Mères par une stupide fête des gens que l’on aime. Jusqu'où ira la volonté de déconstruction sociale des gens en place ? LFAR
Sur le fond, je trouve que la directrice ne va pas assez loin. Pourquoi ne pas instaurer une grande journée pour les enfants GPA-PMA ?
Par générosité d’âme, la directrice de l’école maternelle de Prignac-et-Marcamps, en Gironde, a décidé de ne pas fêter cette année les mères et les pères, mais d’organiser plus globalement une « fête des gens que l’on aime ». Un mot a été mis dans le cahier de liaison des enfants pour expliquer que la décision avait été prise « au vu de situations familiales délicates de certains enfants ».
Grande sagesse de la directrice qui a, paraît-il, reçu une avalanche de compliments. Dont cette maman qui a confié au Figaro : « J’ai été enthousiasmée de voir que l’école avait la délicatesse de penser à toutes les situations familiales des enfants qu’ils accueillent. »
On notera au passage que « l’école », sujet féminin singulier, est devenue dans la bouche de cette dame un masculin pluriel. C’est sûrement ce qu’on appelle intégrer la réforme de façon subliminale…
Sur le fond, je trouve que la directrice ne va pas assez loin. Parce qu’entre nous, viser les mères célibataires, les couples homos et les familles décomposées-recomposées, c’est un peu restrictif. Voire mesquin. Que fait-on des petits issus de gamètes et d’ovocytes sur catalogue ? Pourquoi ne pas instaurer une grande journée pour les enfants GPA-PMA ?
Déjà que la situation de nos petites têtes blondes, brunes, rousses, raides et frisées (je n’ai oublié personne ?) dans l’école de la République devient bien compliquée, il ne faudrait pas instaurer de nouvelles discriminations. C’est vrai, on leur a supprimé la crèche pour effacer l’Enfant Jésus du paysage ; puis le sapin de Noël parce qu’il renvoyait à Noël, qui renvoyait à la crèche et encore à l’Enfant Jésus. Lequel était gardé par le bœuf et l’âne gris. Oui, mais voilà, les religions de l’Inde ne mangent pas de bœuf, qui est une vache sacrée, tout le monde sait cela. Heureusement, on ne sache pas qu’il y ait eu un cochon au-dessus de la mangeoire divine… Mais bon, hein, il y a longtemps que le cochon est banni des écoles pour ne pas offenser juifs et musulmans. Dans la série des exécutions sommaires, on a aussi envoyé Gaspard, Melchior et Balthazar se faire voir chez les Grecs avec leur galette. On a, avec raison, jugé l’Épiphanie doublement condamnable. D’abord parce que le sort, ignorant de l’égalité républicaine, fait avec la fève un roi qui choisit une reine et vice versa. Ensuite parce qu’il se dit que les Rois mages étaient venus d’Orient pour adorer l’Enfant Jésus (voir plus haut). Et ça, dans une classe de 2016, ça n’est pas supportable.
Et quand on en a fini avec les interdits religieux, il faut compter avec la peur. Celle des maires qui font dans leur froc et ont (un exemple) décidé d’interdire aux familles les kermesses de fin d’année au nom de « l’état d’urgence ». Au cas où mémé Malika arriverait avec sa kalach planquée sous sa robe, ou que tonton Ahmed aurait confectionné un space cake au TNT, ou que tata Fatou aurait gonflé au gaz sarin les paquets de fraises Tagada…
Et pendant ce temps-là, les gros bras de la CGT – état d’urgence ou pas – allument tous les jours des feux sur les routes, montent des barrages, bloquent les ports, assèchent le pays et ruinent l’entreprise et le petit commerce.
Mais attention, hein, faudrait pas que les petits enfants souhaitent une bonne fête à maman et à papa, ça pourrait mettre la paix sociale en danger ! •
Commentaires
c'est bien dit et cela ma renvoyé au fait LE FRANC ce n'est pas lui le responsable de la régression c'est l'EURO
ET BONNE FETE A TOUTES LES MAMANS
Des forces extrêmement subversives d'origines satanique jettent le trouble dans les jeunes esprits. Sans mère et sans père, l'enfant perd ses repères. Amère victoire pour ses "maîtresses" de l'éradication nationale !
Les mères sont interchangeables.. Est-ce leur fête actuellement ou celle des "génitrices porteuses" ?
"Plus de père, tous des fils" était un slogan de mai 68.. On pourrait moderniser par " géneration spontanée et sans repères"
Abolissons les vieilles coutumes réac et vive le grand vide où nous nous précipitons. La mode invente un nouveau vocabulaire hexagonal , on abolit le spirituel le magique l'innocence et plus rien n'est sacré .
Le résultat est que nous constatons tous les jours ces progrès qui nous entourent et nous rendent tellement plus heureux que nos stupides ancêtres dans leur obscurité religieuse. La vie est tellement plus belle qu'autrefois ! Non ? Alors vous êtes tous des ""grincheux" ( sic notre cher président)
Cet enfoiré de Pétain, non ? Avoir inventé une fête des mamans ! Heureusement qu'il a été fusillé. Mais la fête reste ! Comment faire pour l'éradiquer ? Peut-être par le Conseil d'État ? Quoique par les temps qui courent c'est pas trop le moment !
J'ai trouvé. Il ne faut plus qu'il y ait de mamans, Comme cela il n'y aura plus de fête !
"Du passé faisons table rase". Toujours la génération spontanée .
Non le général n'a pas eté jusqu'à laisser fusiller son ancien maréchal ce vainqueur de Verdun dont on "fête" actuellement allégrement le souvenir. Il l'a laissê finir ses jours comme Napoléon dans une île .
Oui la fête des mères est une invention de l'époque honnie de " Travail Famille Patrie ." . Trois mots associés ringards et tabou d'une époque de collabos infâmes .
iI est évident que les mots perdent leur pouvoir en les édulcorant et la nouvelle sémantique oriente les opinions , malgré le terme " génitrice " plein de poësie , celui de " mère " reste chargé de sens bien qu'il ne veuille plus dire la même chose , il s'est élargit et c'est devenu n'importe quoi , une marâtre? une nounou, un ventre , une tutrice ?, un refuge ?
Et que dire de la patrie de la famille ? de l'amour mis à toutes les sauces?
Chacun "se construit" comme il peut avec les restes du passé mais avec ces miettes l'être humain reste sur sa faim.
Plus de fête des mères..? Mais alors plus de fête des pères non plus et plus de célébration des grands-parents........... C'est une blague soyons sérieux ..la consommation y perdrait et les fleuristes vont manifester !!!
Effectivement, Pétain s'est éteint sur l'île d'Yeu à l'âge de 95 ans. Il est resté 6 ans en détention, au pain et à l'eau ou presque. Un jour, dans le potager, le jardinier lui dit que les tomates sont bien rouges, il répond, rouge de honte. "C'est moi seul que l'histoire jugera" avait-il dit à son procès. Pétain est-il coupable d'avoir trahi la France ? Nombre d'études sérieuses remettent en cause le mythe d'après-guerre forgé par les communistes. Mais il est difficile de vaincre les mythes. Que pourrait-on dire d'un Hollande, qui sans scrupule, organise l'invasion migratoire de la France ? Qui va le juger lui et ses sbires ?
Il faut attendre longtemps les jugements de l'Histoire et souvent le mieux pour se faire une opinion est de se documenter auprès des historiens étrangers ; ils ne sont pas concernés directement , n'ont aucun intérêt moral ou financier et n'appartiennent à aucun parti.
Dans le cas présent le nombre incalculable de "résistants" ou apparentés est tel que les sources comme leur authenticité de la part de nos contemporains ou des médias est sujette à caution.
Je ne penserai jamais que le vieux maréchal ait viré au traître à la fin de sa vie. C'est plus complexe et confus que ce jugement hâtif rendu sur une poignée de mains à Montoire car d'autres actes prouvent l'inverse. Pas facile de " louvoyer " en évitant les écueils , simplement il ne fallait pas prendre la charge du pays à cette époque , la victoire est parfois dans la fuite.
Il est évident que les communistes grands héros de la " bataille du rail" ayant payé un lourd tribut ont rendu la monnaie de la pièce et se sont vengés .
vae victi.
Il faut rester vigilant même avec des historiens étrangers. A l'époque où j'étais étudiant, le livre "La France de Vichy" de l'Américain Robert Paxton était considéré comme une référence parfaitement impartiale pour traiter de cette période. Hors, Jean Sevilla et Eric Zemmour apportent la preuve du contraire. Paxton n'a pas ouvert toutes les archives mais s'est empressé de juger et de condamner !
Pas de tout blanc tout noir et les exceptions confirment la règle.
"Toute vérité devient fausse dès l'instant que l'on s'en contente"