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Numéro spécial de La Lettre de Gens de France....

 Oui, sous la haute voûte de Notre-Dame de Senlis, au coeur d'une messe vraiment royale, au moment où ils ont échangé leurs consentements "Leurs Altesses Royales le prince Jean de France et la princesse Philomena ont commencé d'écrire une nouvelle page de l'histoire d'une très illustre famille".

            Voilà pourquoi La Lettre, que publie régulièrement l'Association Gens de France ( http://www.gensdefrance.com/gdefrance1/ ), a décidé - et elle a bien fait- de publier un numéro spécial (2), qui revient longuement sur cette journée dont Jean Raspail a parfaitement relevé "l'exceptionnelle justesse de ton".

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          Non sans ajouter finement, et nous sommes tout à fait d'accord avec lui là-dessus, que cette journée, si elle est inoubliable à tous points de vue, pour tous ceux qui ont eu la grâce d'y participer, marque aussi la première victoire du Prince....

          La Lettre redonne le texte de la Bénédiction apostolique envoyée par Sa Sainteté le Pape Benoît XVI aux époux, ainsi que le texte de l'homélie prononcée par Mgr Philippe Brizard ("En Île de France, Cana s'appelle Senlis..."), qui se termine ainsi: "Cana et Senlis ont en commun d'être des lieux de mémoire et de commencement: commencement de l'annonce de la Bonne Nouvelle, commencement de la dynastie dont, Jean, vous êtes issu. Pour l'heure, Cana en Île de France s'appelle Senlis. Il y a des noces, ce sont les vôtres". 

          La Lettre rappelle aussi la prochaine parution -en octobre prochain, chez Pygmalion- du livre d'entretien intitulé Un prince français. A travers onze grands thèmes, le Prince y explique qui il est, ce qu'il fait déjà et ce que, désormais, il compte faire. La présentation parisienne se fera le 6 novembre, dans un lieux prestigieux nous dit-on...

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          On voit aussi une belle photo du Prince Jean saluant Benoît XVI sur la place Saint-Pierre (Le prince Jean s'est rendu à Rome en compagnie de son épouse du 1er au 3 juin, avec Mgr Dominique Rey, évêque de Fréjus-Toulon, qui avait célébré sa messe de mariage à Senlis, deux autres évêques et trois parlementaires).

          Nos lecteurs, qui ont apprécié notre soutien sans faille au Prince et à son action (1) savent que, d'une façon indéfectible, nous sommes et nous serons "Autour du prince Jean !", sur le chemin qui l'attend, à partir de ce commencement qu'évoque Mgr Brizard, car ce chemin, c'est l'espoir pour la France, et le recours lorsque la situation l'exigera....

          Mais revenons à La Lettre. En page 2, et là aussi avec une exceptionnelle justesse de ton, le Prince s'adresse à tous, remercie, explique, commente cette journée "étincelle de bonheur". Il redit ce qu'il nous a déjà montré: son sérieux, sa lucidité, son engagement résolu pour la famille, et son foyer chrétien qu'il veut "accueillant, ouvert aux autres, notamment au service des petits et des plus démunis"; et la "tâche de prince français" qu'il entend bien assumer pleinement.

          "A bien des égards, mes chers amis, vous êtes, vous aussi, ma famille". Voilà pourquoi le Prince nous parle directement, chaleureusement, et toujours avec cette exceptionnelle justesse de ton. Et il parle vrai, et c'est pourquoi ses mots nous touchent, et nous trouvent réceptifs: "C'est pourquoi j'entends également m'appuyer sur vous. Le mariage est une aventure. Ma vie publique en est une autre, parfaitement distincte et intimement liée. Je sais pouvoir compter sur l'appui de Philomena. Je sais aussi pouvoir compter sur le vôtre. Car de nouvelles aventures commencent..."

          Comptez sur nous, Monseigneur. Nous sommes là, nous serons là. Tous, et toujours, "Autour du Prince Jean !"

(1) : On trouve dans la Catégorie "Autour du Prince Jean !" plus de quarante notes, abondamment illustrées, sur la légitimité de la Famille de France, son histoire, sa généalogie, les voyages et discours du Prince Jean, la préparation du mariage et le récit de la cérémonie etc....

(2) : Si vous souhaitez aider l'association Gens de France, la soutenir, y adhérer...

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Commentaires

  • assez de courbettes....
    ce pauvre ménage, d'une bien vilaine famille , ne represente en rien l'auguste Maison de France, mais la
    lignée criminelle des Orléans, passée du crime à la dégénérescence et à l'abrutissement.
    tirons la chasse !

  • Mais alors qui, mon cher Patrick de la Rode? Un prince espagnol peut-être?
    Vous devriez comprendre qu'il ne s'agit pas de prendre parti en faveur de tel ou tel prétendant, mais seulement de se soucier du "pourquoi" et du "comment".
    Pourquoi les Orléans? Je vous engage à lire (ou à relire) L'"Enquète sur la Monarchie" de Charles Maurras.
    Quant au comment, rappelez vous que la Vème République a ouvert les esprits à une autre logique politique: le peuple s'est montré instinctivement favorable à la stature non partisane que De Gaulle voulait donner à la fonction présidentielle.
    La monarchie pourrait bien être l'accomplissement naturel des institutions mises en place par Charles de Gaulle, qui n'a jamais caché ses préférences pour une certaine monarchie.
    Quand la démocratie prend des allures de show-business, il est normal que le peuple se tourne vers un homme qui incarne un principe naturel plutôt que vers un parti.
    Qui mieux que le Duc de Vendôme-Prince français-peut incarner cet espoir? Tout le reste ne compte pas.
    Arrêtons ces vieilles querelles qui n'intéressent personne et mettons nous au travail ensemble.

  • Heureusement que cette famille est la pour perpétrer l'idée monarchique en France,pas comme votre prince Espagnol qui prétend avoir des droits à la couronne de France alors qu'il n'est ni dynaste en France ni dynaste en Espagne.
    Je conseille la lecture des carnets du comte de Chambord pour que les gens sachent qui était l'héritier dynastique.
    Le comte de Chambord a toujours considérer les Bourbons d'Espagne comme princes Espagnols et non plus Français et les princes d'Orléans ses cousins comme princes Français et le comte de Paris son successeur dynastique.
    Laissons Luis-Alphonso de Bourbon y Martinez-bordiu la ou il est a savoir le Vénézuéla ou dans son pays lnatal l'Espagne avec ses parents descendants du dictateur Franco.
    Si un jour la monarchie devait revoir le jour en France nul doute que les Français choisiront un prince Français et non un prince Espagnol.

  • oh, là là ! simple remarque pour les orléanistes :
    - tous les rois de France ont été les ainés de la dynastie capétienne
    - l'ainé des capétiens est le Prince Louis de Bourbon, duc d'Anjou.
    - il a la plus haute conscience des devoirs qu'impliquent ces droits; et il les remplit, simplement, et sans tintamarre...
    - le prince Louis est de nationalité française, comme l'était son auguste Père.
    - il n'est pas Franc-maçon, à la diférence du pitoyable Clermont...
    - si M. d'Orléans, fils cadet, a rencontré notre Saint Père si glorieusement régnant, c'est sur une place publique.....
    -en audience privée, c'est le Prince Louis et les siens qui ont été reçus par le Saint Père... nuance....
    - le "dictateur Franco" a sauvé l'Espagne du communisme et de ses crimes : Votre cher Maurras a été le premier à louer le Mouvenennt National.....
    -les carnets du Comte de Chambord, bizarrement publiés, et annotés avec déloyauté, sont à l'oppsé de toute récupération orléaniste : les jugements que le Roi exilé porte sur les orléanistes, les princes d'Orléans et leur magouilles politiciennes, les échecs de la fusion, depuis 1850, sont sans appel.
    - sur le comte de Chambord, lire et relire la splendide birographi, décapante, que lui a consacré Daniel de Montplaisir, en 2008.
    La destrucion de la monarchie légitime, en 1789, la mort du Roi en 1793, la révolution de 1830
    la naisance de la république maniganée par Aumale,

    etc, tout celà est le fruit de l'orléanisme..

    bonnes réflexions, dans la sérénité...

    Patrick

  • Cher patrick,

    Puisque vous le pensez, vous avez bien fait de le dire. Permettez-nous de vous répondre que, selon nous, pour être roi "de" France, il faut être roi "en" France.

    Le fait de vivre habituellement, "normalement", hors de France suffit à rompre le lien physique qui doit unir le roi et les français. Le Droit ne peut rien contre cela. Parfois, un absolu rencontre, ainsi, un autre absolu. Nous nous en tenons à la sage pratique immémoriale de nos ancêtres: le roi de France vit en France.

    Le demi siècle pendant lequel la famille royale a vécu hors de France a correspondu à l'inique Loi d'exil: on a fait violence à la Famille de France, en lui interdisant de force le sol de ses ancêtres, en l'obligeant à vivre au loin. Dès que la Loi a été rapportée, la famille de France est rentrée. Rien de comparable, donc, avec le fait de vivre librement, de son plein gré et sans que nul ne vous y oblige, à Caracas. Loin de cette terre de France dont personne ne vous interdit l'accés.

    Libre à chacun de faire son choix. Le nôtre est fait, il est clair, public, et non négotiable: le Prince est au milieu de nous, et nous somme autour de lui.

  • Cher "lafautearousseau,

    si l'ainé des Orléans, comme héritier de Louis Philippe, était interdit de sol national, par une loi monstrueuse, voulue et appliquée contre un prince qui faisait peur à la Gueuse (avant de se ridiculiser dans le boulangisme ), elle pouvait tout aussi bien être appliquée à l'ainé des capétiens....

    Les ainés de Bourbon ont résidé en France sans discontinuité depuis 1950, et y sont encore domiciliés...

    les lois fondamentales de la monarchie n'ont jamais obligé un prince capétien à etre régnicole, et les Bourbon régnant à Madrid ont toujours été traités en "fils de France", recevant ainsi à la naissance les Ordres du Roi
    C'est entre les mains du Roi d'Espagne, comme chef de la seconde branche de notre famille", que Louis xVI déposa sa protestation solemmnlels contre tous les actes qui lui étaient extirqués, et le Pacte de Famille est là pour attester de l'unicité de la maison Capétienne, derriere son chef de famille, le Roi très chrétien !
    la constittiion de 1791, malgré les magouilles de Philippe Egalité, rappelle bien "il n'est rien préjugé dans la race actuellment régnante quant à la portée des rencinciations".

    Maintenant, si on veut construire une nouvelle monarchie en France, que l'on applique la régle prévue en cas d'extinction de la monarchie légitime, rappelée par Louis XIV lui même : c'est au peuple, dans ses Etats qu'appartient la désignation de la nouvelle race royale.

    Les "blancs d'Espagne & les "blancs d'Eu" peuvent se lancer des invectives, mode de fonctionnement de l'orléanisme, dénoncé toute sa vie par Henri V... celà ne changera rien...

    Tout ce que je peux dire, ici, c'est que j'ai eu l'honneur de servir deux Princes, profondément royaux, auxquels, malgré les avatars de l'existence, la haute idée de leurs devoirs n'a jamais manqué, certains que "par la grace de Dieu" ils étaient "en attente de ''onction de Reims"; et que leur petit-fils et fils , brillant, déterminé, est digne de leurs exemples

    Qu'il vive à Caracas ou sur la lune, n'enlève rien à son destin, qui est inscrit dans la geste de la France, fille ainée de l'Eglise !

    qu'un prince cadet, qui éclipse un fantoche caché, s'agite en quémandant des invitations, incapable même d'empéher la honteuse dispersion des souvenirs de famille, y compris ceux donnés par des fidèles,s'agite, manipulé par Point de Vue people, et l'ex-légitimiste Philippe Delorme, n'impressionera que Rachida Dati !

    Ce n'est pas en machonnant les débris de la funeste action française, que l'idée royale retrouvera quelque crédibilité..

    persuadé de votre bonne foi, et de votre probité intellectuelle,je vous livre ma façon de voir, avec sérénité, persuadé que vous ne m'entendrez pas, mais sur qu'avc le temps, le bon grain germera !

    Patrick

  • Cher Patrick,
    Je partage votre avis sur les renonciations. Cependant, contrairement à ce que vous dites, la régnicolité est indispensable à un règne légitime: le but était d'empêcher la France de devenir l'accessoire d'un autre royaume. Une autre condition est une filiation de "bon aloi", c'est à dire sans souçon de bâtardise. Là, je dois dire que malheureusement, votre Prince Louis ne remplit guère les conditions: en effet, il descend de la reine Isabelle II, dont aucun de ses enfants ne fut, de son aveu même et répété, les oeuvres de son mari Don Francisco de Asis. Selon les lois françaises, il n'est pas Bourbon, mais Puigmolto, du nom de son père, colonel des gardes. Les rois carlistes, qui, selon vous, étaient de la mort d'Henri V à 1936, aussi rois de France, n'ont pas manqué d'en montrer les preuves.

  • La famille d'Orléans n'existe plus depuis trés longtemps
    au moins depuis la déclaration de Philippe Egalité le 15 septembre 1792 a la tribune des Jacobins "Je dois le jour aux liaisons impudiques de ma mère avec un valet...que le feu duc d'Orléans (son grand père) n'a jamais voulu me reconnaitre, que mes inclinaisons de sans culotte me persuadent que ce n'est pas le sang des Bourbons qui coule dans mes veines... d'après Mathon de la Varenne et si on rajoute l'affaire CHIAPINNI il n'y a plus de doute a avoir.

  • Sommes nous conscients de ce que - fort heureusement - ce blog et ces commentaires sont lus aussi par des personnes vivant aujourd'hui et souhaitant s'informer ?

    S'ils ont pour nos idées quelqu'intérêt, quelqu'attirance ou même un début de sympathie; si, inquiets de la situation de la France, de l'Europe et du monde actuel, ils viennent sur notre blog en quète d'une pensée politique un tantinet réaliste et sérieuse, pouvant être utile hic et nunc, je crains que la "trame" sinon la substance du commentaire précédent ne les dégoûte par avance.

    Quant aux royalistes, peut-être devraient-ils avoir davantage, s'agissant d'eux-mêmes, le souci de l'adaequatio rei et intellectus.

    A la limite, c'est une affaire de bonne santé mentale.

  • le commentaire que j'avais adressé à propos de la supposée illégitimité de la naissance du roi Alphonse XII ,'est pas passée, sans doute par suite d'une mauvaise manipulation de ma part.
    mais un intervenant a rappelé justement le reniemnente de sa filiation par Philippe Egalité lui-même.
    pour ma part, je me contentais de rappeler les affreuses et criminelles attaques montées par cet orléans, contre la naissance des fils de Louis XVI, celles lancées à la naissance du duc de Bordeaux, et le soutien apporté sous la monarchie de Juillet à Naundorff....
    ces procédés sont deshonorants....
    je ne m'abaisserai pas à reprendre ce qu'on a pu dire sur les beautés de la génétique dans la maison d'Orléans.
    je remarquerai que, après le ridicule mariage de Vendôme, chanté par la feuille "Cul et visage, chère au journaleux Philippe Delorme, le comble va être le mariage religieux de l'ex Clermont, avec son épouse cvile.
    la moindre décence aurait commandé que cette régularisation se passe "in nigris" !
    mais la dispersion nausaébonde des derniers souvenirs de famille qui étaient restés entre les mains de feue Isabelle de "tout m'est bonheur"montre que ces gens font fromage de toutes les miettes.
    Petit détail : les souvenirs de Louis XVI, de Louis XVII, etc vendus avaient été donnés aux Orléans par de bons royalistes, assez niais pour penser que les souvenirs de vistimes sont à leur place chez les descendants de l'assassin.....
    il est vrai que, si le balourd pseudo duc d'Orléans a écrit sur son père le plus affeux livre qu'on puisse imaginer, sa femme Gersende de Sabran a plus de sens pratique et s'est jetée en harpie sur le patrimoine de sa propre famille ; une émission repassée à la télé ces derniers jours, nous a montré les malheurs du château d'Ansouis et de son contenu....
    Notons, dans la rubrique "bon chien chasse de race" que c'est Charles louis d'Orléans, fils de la précitée, qui menait l'hallali ..... Depuis l'assasinat du dernier Condé, l'argent n'a pas d'odeur ...
    amitiés légitimistes.
    Patrick

  • Je maintiens que des commentaires de la veine des précédents ne servent pas notre projet et nos objectifs politiques - si nous en avons - qu'ils enferment l'idée monarchique dans un microcosme assez ridicule de royalistes d'un autre monde et écarteront indéfiniment les gens sérieux non encore royalistes, qui pourraient avoir envie de nous rejoindre.

    Sa ligne étant très claire, sur ce sujet capital, je ne vois pas l'intérêt que lafautearousseau peut avoir à publier ce genre de littérature.

    Mille excuses pour la radicalité de ce propos.

  • Je constate qu'un certain "Patrick de La Rode" (sans doute un pseudo ronflant pour dissimuler un patronyme bien roturier) me qualifie de "journaleux" et d' "ex-légitmiste".

    "Journaleux", je veux bien, quoique ce terme ne soit guère poli !

    Mais "ex-légitimiste", "M. de La Rode" est bien mal renseigné. Je suis et j'ai toujours été LEGITIMISTE ! C'est-à-dire que j'ai toujours considéré la Maison d'Orléans comme l'héritière légitime des droits historiques au trône de France, depuis la mort du comte de Chambord en 1883.

    Je mets au défi "M. de la Rode" de dénicher de ma part la moindre déclaration alfonsiste (je suis l'inventeur de ce terme, utilisé la première fois en 1987 dans le magazine DYNASTIE).

    J'ai bien connu feu le comte de Paris, dont j'ai publié il y a quelques années un livre d'entretiens, réalisés au début des années 1990. A mes yeux, il était "Henri VI", et son fils aîné est l'actuel "Henri VII".

    Je tenais à apporter cette précision.

    Philippe Delorme

  • En complément ( et en correction) à mon précédent message, je crois devenir que ce "M. de la Rode" est en réalité M. Patrick Esclafer de la Rode, auquel cas mon allusion à un pseudonyme est sans objet, et je la retire.

    Mais, dans un premier temps, il m'a été difficile d'imaginer que l'auteur de propos aussi outranciers sur les princes d'Orléans soient l'un des éminents fondateurs de l'Institut de la Maison de Bourbon. Laquelle Maison de Bourbon comprend (du moins si j'en crois l'excellent "Etat présent de la Maison de Bourbon" par Hervé Pinoteau) en son sein tous les princes d'Orléans tant vilipendés par M. de la Rode.

    Il faudrait m'expliquer ce paradoxe : comment à la fois se faire le thuriféraire de la Maison de Bourbon, et en dénigrer l'une de ses branches les plus éminentes ?

  • je remercie vivement M. Philippe Delorme de me prendre à partie à titre personnel.

    C'est la méthode habituelle de l'Orléanisme : semer le doute....

    Je porte simplement mon nom d'état civil , qui comporte un nom de terre, je ne signe pas par prénom ou par pseudo.

    Que le juge d'arme Philipppe Delorme chasse le roturier celà montre à quel point ces gens-là n'ont rien appris ni rien oublié..
    Ou, au mieux, avec quel acharnement ils veulent dévier le débat, qui intéresse tout français, même roturier !

    Légitimiste militant depuis 1959, je n'ai jamais cessé de l'être, et ce n'est pas le spectacle quotidien des affreux descendants d'un assassin, régicide et parricide qui me fera changer d'avis.

    En passant la brosse à reluire à M. le duc de Bauffremont, et en s'inclinant devant Mgr le duc d'Anjou, que faisait donc M. Delorme ? Il dupait donc son monde !

    Comme en d'autres temps feu Arnaud Chaffanjon, de la même feuille, lorsqu'il mendiait une invitation au mariage de Mgr le Prince Alphonse, à Madrid ! par mon truchement !

    De minimis, non curat Praetor....

    Orléanisme et arrivisme riment donc encore, comme au temps d'Henri V....

    Patrick de La Rode
    -qui tient à la disposition de M. Delorme la photocopie de ses papiers d'identité !!!!!!

  • je remercie M. Philippe Delorme de sa rectification spontanée.... et je considère donc cet incident comme clos.

    je ne nie pas l'appartenance de la famille d'Orléans à la Maison Capétienne; mais à sa place, dans l'ordre de succession que la "loi salique" implique, et avec les titres que l'Etat présent lui reconnait......

    En revanche, les procès haineux et deshonorants pour lui que M. d'Orléans a fait au Prince Alphonse, et, après sa mort tragique, à son fils, l'ainé des capétiens, ne se peuvent oublier ! le ridicule de celui fait pour prendre le nom de Bourbon à la place de celui d'Orléans permet, une fois encore, de s'esbaudir....

    à l'institut de la Maison de Bourbon, comme dans l'action légitimiste, nous n'avons jamais, nous, mis en cause la naissance du comte de Paris... etc....
    les attaques sur celle d'Alphonse (XII) disqualifient leurs auteurs.....

  • M Esclafer,
    Si vous arborez un nom de terre (que vous avez d'ailleurs dû disputer devant la justice de la "Gueuse " :http://www.easydroit.fr/jurisprudence/Cour-de-Cassation-Chambre-civile-1-du-5-mai-1987-84-16-126-Publie-au-bulletin/C28882/ ) cela ne fait pas de vous un gentilhomme. Et vos propos grossiers et vulgaires vous ravaleraient au dernier rang de la roture, si être roturier était pour moi une insulte.

    Je n'ai jamais "passé la brosse à reluire" à M. le duc de Bauffremont. Puisque vous semblez bien le connaître, parlez-lui de moi : il vous dira que je n'ai jamais "mis mon drapeau dans ma poche", et que nous avons eu souvent des discussions aimables (car M. le duc, LUI, est un véritable gentilhomme et non un charretier) sur ce qu'il appelle mon "orléanisme". Il me connaissait d'ailleurs depuis longtemps et savait quelles étaient mes idées, maintes fois exprimées dans Dynastie ou dans Point de Vue. Mais je pense qu'il a compris que j'étais un homme de fidélité, et qu'il me respecte pour cela. Respect mutuel, est-il besoin de le préciser.
    Si j'ai eu à travailler avec lui c'est parce que le Mémorial de France dont il est président était détenteur du coeur de Louis XVII, et que nous devions collaborer pour mener à bien cette recherche.

    Il n'y a que les fanatiques et les intolérants de votre genre qui sont incapables de collaborer avec leurs "adversaires" lorsque cela est nécessaire. Or, ni M. de Bauffremont, ni moi n'appartenont à cette triste catégorie.

    Quant à don Luis ALfonso, je l'ai rencontré en tout et pour tout 2 fois, pendant moins d'une demi-heure en 2000 pour la proclamation des résultats ADN du coeur de Louis XVII (Il devait reprendre l'avion d'urgence pour Madrid). Nous étions assis à la même table et notre conversation s'est résumée à cet échange laconique : moi : "Il fait chaud..." lui : "Oui..." !
    Je l'ai revu lors de la cérémonie des obsèques du coeur en 2004, et cette fois-ci je crois bien que nous ne nous sommes rien dit. Je l'ai salué poliment, comme il convient devant un arrière-petit fils d'Alphonse XIII et lointain descendant de Louis XIV : est-ce cela que vous appelez "s'incliner" ? QU'aurait dû faire "l'ignoble orléaniste" que je suis ? Lui cracher à la figure ? Le poignarder à la Ravaillac ? Soyons sérieux...

  • Mon cher Esclafer, pour en revenir à votre prose, pourriez-vous me faire "l'explication de texte" de cette tirade, qui pour moi, reste hermétique :

    "qu'un prince cadet, qui éclipse un fantoche caché, s'agite en quémandant des invitations, incapable même d'empéher la honteuse dispersion des souvenirs de famille, y compris ceux donnés par des fidèles,s'agite, manipulé par Point de Vue people, et l'ex-légitimiste Philippe Delorme, n'impressionera que Rachida Dati !"

    1/ Qui est ce "prince cadet" ?
    2/ Qui est ce "fantoche caché" (et "éclipsé") ?
    3/ A qui ce "prince cadet" demande-t-il des invitations en s'agitant ? Et pour quoi ?
    4/ Et comment ce "prince cadet" continue-t-il de s'agiter en étant manipulé par moi ? Cela ressemble de plus en plus à de la poésie surréaliste !
    5/ Enfin, en quoi cette agitation (ou cette manipulation de ma part, je ne sais plus) serait-elle en mesure d'impressionner Rachida Dati ?

    Merci d'avance pour vos réponses à mes questions bien... légitimes ;-)
    PHD

  • décidément, mon cher Delorme, vous n'en ratez pas une.....
    après avoir paru regretter votre algarade, vous l'agravez, comme en service commandé
    je ne pense pas que des atteintes à la vie privée vous grandissent ; elles tombent sous le coup de la loi, ce que le premier -ou le dernier- des journaleux devrait savoir.
    Je porte mon nom, légalement le mien comme moralement, et vous ne savez absolument pas si je suis noble ou roturier !
    Là n'est pas le débat ! tout ce qui importe, c'est que je n'ai pas de régicide dans ma parenté....ce qui me donne quelque droit à en parler....
    J'ai pour cette lignée issue de régicide les sentiments qu'elle mérite, et la quête à la notoriété dans laquelle elle se lance, au lieu de se faire oublier après les scandales qu'elle a publiquement étalés ces dernières décennies permet de lui donner quelques leçons.
    Les procès qu'a monté votre maitre, dit Clermont, permettent de le mépriser, sans parler des ridicules de cette existence ! je l'ai vu, ici, à Périgueux, venir à une inauguration de salon de coiffure contre défraiement ... tirons la chasse...
    tout ce qui est Orléans pue ! je le pense et je le dis.

    Vous parlez de "don Luis Alphonso" : il est français, comme vous et moi, et s'appelle Louis Alphonse !!

    Plus délicat que vous, je ne vais pas pas insister sur l'ainé caché derrière le pseudo Vendôme, etc....

    Ce qu'il faut, enfin, c'est que les légitimistes cessent de se comporter en gens du monde et traitent, sans crainte, le problème orléaniste comme il le mérite : à la cravache !

    Votre publication tronquée du journal du comte de Chambord, acompagnée de commentaires sectaires, ne vous fait pas honneur, et vos réactions ici montrent que vous n'êtes pas un historien !

    vous me reprochez un fanatisme qui n'est pas le mien, et n'est qu'une réponse au votre et à l'aveuglement de cette feuille virtuelle

    Maintenant, si vous voulez continuer à vomir, je suis votre homme, même sur le terrain !

    mon mail est "montclar@laposte.net
    et mon tel est dans le bottin mondain, comme dans l'annuaire de tout un chacun !

    Patrick Esclafer de La Rode

  • Esclafer, nous ne sommes décidément pas du même monde. Et je crois que nous n'avons plus rien à nous dire. Chacun appréciera la teneur de vos interventions, et les miennes.
    Pour ma part, nos "échanges" sont terminés. De manière définitive. Et je ne répondrai plus à vos éructations.
    Avec l'espoir de ne plus vous lire, et de ne jamais vous rencontrer.

  • Delorme,
    votre souhait retrouve le mien....
    "la caque sent toujours le hareng"
    vous illustrez parfaitement ce vieux proverbe.
    Cassagnac, dont Henri V appréciait le courage, avait lancé un jour, à un de ces hiérarques du radicalisme dont Aumale et consorts faisaient la cour
    " quand on veut monter au mas de cocagne, il faut avoir le derrière propre"
    méditez ce mot, il vous concerne !
    Pour achever de vous réjouir, voci une belle épitaphe
    'çi-git B..... qui fit toujours l'amour à sa guise.

    je note que vous n'avez pas désavoué les attaques précises sur la filiation d'Alphonse XII
    donc pour vous, le Prince Louis Alphonse et le Roi Jean Charles ne sont pas des Bourbon !

    Vous avez bien le niveau des Orléans et des faux Grimaldi !

    n'ayez crainte, je vous retrouverai !

  • Philippe Delorme a eu bien de la patience de discuter longuement et courtoisement avec ce Monsieur Patrick Esclafer de La Rode qui est si mal élevé. Et il a eu, surtout, bien raison de terminer ces "échanges" où le Monsieur en question a été si ridicule.

    Il faut surtout expliquer d'urgence aux lecteurs de ce blog qui ne sont pas encore royalistes mais auraient envie de le devenir, que nous ne sommes, heureusement, pas tous comme cela...

    Ce Monsieur Patrick Escllafer de La Rode s'est, en tout cas, livré à une si remarquable démonstration de contre-productivité; il a donné de son petit monde, d'ailleurs fort malheureux, une image si négative qu'on dirait une caricature forgée par le camp d'en face ... J'espère, en tous les cas, sinon ça ne doit pas être tous les jours drôle, qu'ils ne sont pas tous du même acabit, dans ce monde là.

    S'il avait, comme il dit, un "maître" qui ne soit pas si lointain, qui suive ses affaires, qui s'inquiète de la façon dont ses zélateurs servent et présentent sa cause, il est bien clair que ce monsieur si mal élevé, serait immédiatement remercié, sommé de se taire.

    C'est d'ailleurs là la cause de tant de folie. Car c'en est une. Leur Prince, pour respectable qu'il soit, français de lointaine origine, et ne manquant pas de s'en souvenir, ce qui est, après tout, à son honneur, mais surtout plus espagnol qu'on ne peut l'être, tant du côté Bourbon que du côté Martinez, Bordiu et Franco, n'est pas une incarnation possible de la Monarchie, en France. Il est simplement un mirage qui, comme tel, rend fous ceux qui le poursuivent.

    C'est le moment, croyant ou non, de se souvenir de la phrase du Christ - qui ne vient pas annuler mais tempérer les liens de fidélité humaine : "Vous n'avez qu'un maître et votre maître est dans les Cieux". Car, en plus, ces gens-là vont à la Messe, se gargarisent de religion et - c'est curieusement fréquent - suent la haine et la rancune ... Que je sache, que j'aie vu, le prince Jean de France a des amis, il n'est pas leur "maître"., Il ne sont pas, sauf en un autre sens, ses "serviteurs".

    Le royalisme est une déjà longue et terrible histoire qui, comme toute l'histoire des hommes, peut être affligeante ou joyeuse. Et il n'est pas impossible, il est même assez sûr, qu'elle a, à raison du sentiment tragique qu'elle ne cesse de véhiculer, tourné la tête, altéré la droite raison de plus d'un. J'avais d'ailleurs bien dit, en lisant, il y a déjà trois semaines, la prose naissante du dit Esclafer, qu'il s'agit, aussi, d'un problème de santé mentale. Je le mainiens.

    Ici, nous sommes dans l'affliction. Il vaut mieux jeter nos regards et nos filets dans la haute mer que dans les marécages - qui plus est largement obsolètes et largement pathologiques - de la déraison et de la rancune.

  • Bref, au fil de ces commentaires je n'ai plus honte d'être républicain. Tant qu'il y aura des royalistes de cette qualité la république aura de beaux jours devant elle. N'est ce pas une chambre à large majorité monarchiste qui en 1875 a instauré la république ?
    Et c'est le paradoxe français où un régime trouve ses plus fidèles supports dans ce qui lui est opposé.

  • Je ne suis ni royaliste, ni même catholique pratiquante, mais je suis- comme beaucoup sans doute-, scandalisée par le remariage religieux du prince Henri :outre un passe droit manifeste "selon que vous serez puissants ou misérables..",c' est une insulte à l' égard de son ex épouse qui a su faire face aux épreuves que la vie lui envoyait avec classe et courage. Ces valeurs-là, dans un tout autre contexte social et politique, m' ont été transmises et je les salue chez la duchesse de Montpensier qui ne méritait pas ce camouflet.

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