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La caque sent toujours le hareng...

          Question de prime abord obscure : Quelle différence y a-t-il entre Aline Louangvanasy (professeur de philosophie au Lycée Rive Gauche à Toulouse, membre de la CGT) et Jean-Clément Martin, professeur d’histoire de la Révolution française à l’université Paris I-Panthéon-Sorbonne et directeur de l’Institut d’histoire de la Révolution française (CNRS) ?

          Réponse : aucune....

           L'une et l'autre sont d'indécrottables révolutionnaires, pénétrés jusqu'au trognon par leur idéologie, et absolument incapables de voir les choses, le monde, la réalité autrement qu'à travers le prisme déformant de la-dite idéologie. Elle a beau s'être effondrée partout, cela ne les ébranle pas un instant. Ils continuent et ils continueront, perinde ac cadaver, à réciter leur vulgate... Bref des irrécupérables.....

          On exagère ?

          Le second (ci dessous) a déclaré (texto !) "la Terreur est une arme employée par l’Ancien Régime..." (il faut le faire, non ? eh bien, lui, il l'a fait...); et "On ne peut pas parler d’un régime de Terreur sous la Révolution...." (re...)

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          La première a défendu Jean-Marc Rouillan en ces termes (dans Le Monde...) :

          "Son crime, c'est d'être cohérent avec lui-même (1). Il vaudrait donc mieux qu'il se taise définitivement, d'autant plus que, après trente ans de prison (2) dans des conditions parfaitement inhumaines, sa vitalité semble mettre en échec la logique disciplinaire du régime carcéral.... Nous vivons à une époque où le capitalisme a atteint son maximum de violence. La crise financière exige des têtes, des coupables à désigner à la vindicte populaire."

           Et elle conclut :"Nous devons exiger la remise en semi-liberté de Jean-Marc Rouillan, qui a payé sa dette à la société" (3).

           Alors on (se) repose la question posée plus haut, et on constate que, vraiment, à ce stade-là, il n'y a rien à faire, plus rien....

 (1) : nous, on croyait bêtement que son crime c'était d'avoir assassiné G. Besse et R. Audran.... Mais c'est vrai qu'on n'est pas révolutionnaires, on comprend rien....

(2) : vingt, mais c'est pas grave : quand on est révolutionnaire, la "vérité" c'est subjectif, élastique, souple et tout ce qu'on voudra....

(3) : non, puisqu'il a été condamné à la perpétuité, mais ça la dame s'en fout.....

Commentaires

  • Je crains que l'absence actuelle d'une opposition cohérente du parti socialiste donne naissance à une pousée anarchique d'extrême gauche dont Besancennot est le représentant.

  • Besancenot n'est pas représentant de l'anarchisme, qui a sa valeur, mais du trotskisme, qui est l'expression la plus irrécupérable de la pensée "cosmopolite".

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