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Rechercher : Rémi Hugues. histoire & action française. Rétrospective : 2018 année Maurras

  • Action française Ile de France : rendez-nous nos libertés ! Apéro Libertés.

    Ce soir, des militants, des sympathisants et même des passants se sont réunis pour partager un moment convivial.
    Un sentiment commun : le ras-le-bol des restrictions sanitaires imposées par le gouvernement.
    Contre la dictature sanitaire, l'Action française se bat pour les libertés !

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  • Action française Ile de France : retour en vidéo sur l'Apéro Liberté de ce dimanche.

    Un moment de convivialité pour oublier les restrictions sanitaires.
    Nous vous attendons nombreux samedi prochain à 16h sous l'arc de triomphe du carrousel du Louvre.

  • Sur Sud Radio, Toulouse : Faut-il dissoudre l’Action Française ?

    Les Vraies Voix avec Philippe Bilger, Philippe de Veulle, et Thomas Fauré au micro de Philippe David.

  • Communiqué de l'Action française Restauration Nationale : un record de dégoût.

    67% d’abstention, un record. Après plus d’un an de pan­dé­mie, les élec­tions régio­nales et dépar­te­men­tales n’ont mani­fes­te­ment pas pas­sion­né les Fran­çais, qui n’en peuvent plus d’un État qui les a assi­gnés à rési­dence, mas­qués et infan­ti­li­sés. Le seul vrai résul­tat de ces élec­tions est que les ministres para­chu­tés se sont reçus sur le cul : dur contact avec la réalité.

    On pour­rait ana­ly­ser les causes de cette désaf­fec­tion des urnes : élec­tions mal pré­pa­rées et mal orga­ni­sées, pers­pec­tive d’une pré­si­den­tielle qui reste le der­nier vrai enjeu élec­to­ral, dés­in­té­rêt pour un scru­tin autour des barons locaux, incom­pré­hen­sion sur le rôle des élus dépar­te­men­taux et régio­naux per­çus comme les seuls béné­fi­ciaires d’un empi­lage de fonc­tions au som­met d’un mille-feuille admi­nis­tra­tif… Bref, les rai­sons sont multiples.

    Mais ce désastre « démo­cra­tique » révèle en pre­mier lieu la méfiance et le décou­ra­ge­ment d’une très grande par­tie de notre peuple à l’égard du per­son­nel politique.

    Les habi­tants de notre pays ne semblent pas pou­voir trou­ver dans les urnes des réponses à leurs angoisses : chô­mage, insé­cu­ri­té, immi­gra­tion incon­trô­lée, repen­tance et autres agres­sions des mino­ri­tés idéo­lo­giques, pro­pul­sées au-devant de la scène par les lob­bys finan­ciers et les médias, consti­tuent aujourd’hui le quo­ti­dien des Fran­çais. Le sen­ti­ment d’être cour­ti­sé en période élec­to­rale pour être ensuite trom­pé et aban­don­né dans une France qui dégrin­gole rend futile le bul­le­tin de vote.

    Faire gagner l’abs­ten­tion, c’est faire perdre la démo­cra­tie, vient de dire Jean Cas­tex, Pre­mier ministre. C’est la démo­cra­tie elle-même qui sécrète le poi­son qui la tue. Le peuple en a assez d’une démo­cra­tie qui joue les dic­ta­tures pen­dant plus d’un an puis pré­tend lui redon­ner la liber­té de choix en expli­quant que la moi­tié des élec­teurs sont des incons­cients et l’autre moi­tié des cré­tins. La lutte contre l’extrême droite, mal abso­lu qui mena­ce­rait notre pays, voi­là tout le pro­gramme des sau­veurs de la démocratie.

    À chaque élec­tion, le régime se dis­qua­li­fie un peu plus et les par­tis révèlent qu’ils ne servent qu’à prendre et occu­per le pou­voir sans gou­ver­ner. Qui a voté ? Il appa­raît que ce sont plu­tôt les cadres et les retrai­tés, ceux qui pré­fèrent en géné­ral recon­duire les sor­tants en période de crise, à gauche comme à droite.

    Devant cette pan­ta­lon­nade, l’Action fran­çaise appelle les Fran­çais à se réveiller. Ce n’est pas d’élections poli­ti­ciennes dont nous avons besoin. C’est d’un chan­ge­ment de régime, afin de remettre le pays réel au centre des pré­oc­cu­pa­tions de l’Etat et de redon­ner à la France sa vraie place dans le monde.

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    Source : https://www.actionfrancaise.net/

  • VENDREDI 10 SEPTEMBRE 2021 À 19H30 : Réunion de lancement - Action française - Vexin.

    https://www.facebook.com/events/1873366302824752/?ref=newsfeed

    REUNION DE LANCEMENT DE LA SECTION VEXINOISE D'ACTION FRANCAISE !

    Nous vous invitons à nous rejoindre à l'occasion de notre réunion de lancement qui aura lieu à L'Isle-Adam le vendredi 10 septembre à 19h30.

    Cette rencontre sera l'occasion de faire connaissance, d'adhérer ou simplement de prendre contact. Nous discuterons de notre campagne, de nos actions et de nos projets.

    Si vous souhaitez assister à cette réunion, les inscriptions se feront par MP ou par courriel : vexin@actionfrancaise.net
    Nous vous communiquerons par la suite le lieu précis.
    Militants, adhérents, sympathisants ou simples curieux nous vous attendons !
    En espérant vous voir nombreux !

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  • Action française Paris : rendre son honneur au Maréchal Gallieni, ce héros, à la gloire de la France et de son héritage.

    Le 26 septembre, la statue du Maréchal Gallieni, qui s'était distingué à la bataille de la Marne en 1914, a été vandalisée.
    L'Action française a pris les devants et est allée nettoyer et rendre son honneur à ce héros, à la gloire de la France et de son héritage.
    La France ne tombera pas entre les mains de ses destructeurs. Mais pour que vive la France : il faut un roi.
    Si tu souhaites découvrir notre militantisme ou nous rejoindre, envoie nous un MP.

  • Sur le site officiel de l'Action française : objectif souveraineté, l’éditorial de François Marcilhac.

    « Le Bien Commun »

    Alors que la crise sani­taire n’en finit pas, il peut paraître étrange que la prin­ci­pale pré­oc­cu­pa­tion de nos hommes poli­tiques soit déjà la pro­chaine pré­si­den­tielle, et les légis­la­tives qui s’ensuivront. Il est vrai que, quin­quen­nat oblige, la pre­mière aura lieu dans qua­torze mois seule­ment – autant dire, demain. Et qu’en répu­blique, rien n’est plus impor­tant que les élec­tions !

     françois marcilhac.jpgC’est-à-dire les pro­chaines pré­bendes. Telle est la rai­son pour laquelle les régio­nales et les dépar­te­men­tales n’ont pas été repous­sées à plus tard que juin : il ne fal­lait pas que les dif­fé­rentes élec­tions risquent de s’entrechoquer en matière de comptes de cam­pagne. Quant à repous­ser les élec­tions locales après la pré­si­den­tielle, Macron y a bien pen­sé, pour pro­fi­ter, en cas de nou­velle vic­toire, de la dyna­mique majo­ri­taire qui lui aurait alors don­né, outre l’Élysée et l’Assemblée, les dépar­te­ments et les régions et donc, à terme, le Sénat. Mais la ficelle était un peu grosse. Comme l’est cette ten­ta­tive, dont nous ne savons ce qu’elle devien­dra à l’heure où nous écri­vons, d’instaurer pour la pro­chaine pré­si­den­tielle le vote élec­tro­nique par anti­ci­pa­tion. Les bobos, vivier élec­to­ral se par­ta­geant entre Macron et les Verts, pour­raient, après avoir fait leur devoir civique dès le jeu­di, par­tir en week-end prin­ta­nier dès le ven­dre­di soir dans leur SUV hybride – conscience éco­lo oblige.

    Les médias jouent éga­le­ment leur par­ti­tion, dic­tant à l’opinion publique, à tra­vers son­dages et émis­sions poli­tiques ciblés, un second tour Le Pen-Macron que ce der­nier pense d’ores et déjà sans risque majeur, même si l’écart avec sa concur­rente se rétré­ci­rait cer­tai­ne­ment quelque peu. Voi­là̀ ce qu’est deve­nue cette ren­contre d’un homme et d’un peuple qu’était cen­sée être l’élection du pré­sident de la répu­blique au suf­frage uni­ver­sel lors de son ins­tau­ra­tion par réfé­ren­dum. Et qu’elle ne fut jamais puisque, dès décembre 1965, lors de sa pre­mière occur­rence, le bal­lot­tage de De Gaulle signi­fia l’échec de sa ten­ta­tive. Alors qu’il pen­sait pou­voir se tar­guer devant les Fran­çais de ce qu’il consi­dé­rait comme sa double légi­ti­mi­té his­to­rique (1940 et 1958) pour appa­raître au-des­sus de la mêlée, le jeu des par­tis reprit immé­dia­te­ment le des­sus. Et ce fut la droite qui vain­quit, sans gloire, une gauche sou­te­nue par une extrême droite atlan­tiste. Le sché­ma vou­lu par le géné­ral De Gaulle n’avait de chance de jouer qu’en cas de can­di­da­ture hors par­ti : on par­la à l’époque du comte de Paris, Hen­ri VI : le dia­logue entre les deux hommes, d’une hau­teur de vue dont seraient bien inca­pables nos poli­ti­ciens actuels, fait regret­ter que l’entreprise, si De Gaulle y pen­sa vrai­ment, n’ait pas été tentée1. Lais­sant par manque de volon­té poli­tique le comte de Paris dans l’ombre, De Gaulle pré­fé­ra se repré­sen­ter. Et, la nature reve­nant au galop, la répu­blique retour­na très rapi­de­ment à ce qu’elle est fon­da­men­ta­le­ment : une com­pé­ti­tion peu relui­sante d’intérêts pri­vés, voire étran­gers, aux dépens du peuple français.

    De ce point de vue, 2022 ne recè­le­ra aucune sur­prise. Quel qu’en soit le vain­queur, et nous ne pou­vons évi­dem­ment qu’espérer la défaite de Macron, cette nou­velle édi­tion ne chan­ge­ra rien à la donne. Même s’il est ani­mé des meilleures volon­tés du monde – et espé­rons qu’il le soit –, le nou­veau chef de l’Etat ren­con­tre­ra bien vite les limites inhé­rentes à un régime qui ne pose pas les condi­tions de l’indépendance du pou­voir. Outre qu’il devra pro­ba­ble­ment sa vic­toire à quelque oli­gar­chie, il devra éga­le­ment comp­ter avec tous les inté­rêts pri­vés et étran­gers – sou­vent les mêmes – qui sème­ront sur la voie qu’il se sera fixée les pires embûches, sans comp­ter que l’Europe se pré­vau­dra de sa supé­rio­ri­té désor­mais ins­ti­tu­tion­nelle pour lui inter­dire d’agir dans l’intérêt de la France. Car il faut bien mesu­rer qu’aujourd’hui, et le vou­drait-il – ce n’est en tout pas le cas de Macron –, le chef de l’Etat n’est plus le chef d’un État sou­ve­rain. C’est pour cette sou­ve­rai­ne­té que nous tra­vaillons, et pour le sou­ve­rain qui en est le garant.

    1 Comte de Paris, Géné­ral De Gaulle, Dia­logue sur la France, Fayard, 1994

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    Source : https://www.actionfrancaise.net/

  • Sur le site officiel de l'Action française : le troisième homme, l’éditorial de François Marcilhac.

    Tout se met en place pour la pro­chaine pré­si­den­tielle et, si nous étions répu­bli­cains — hypo­thèse évi­dem­ment absurde —, nous ne sau­rions trop ful­mi­ner contre ce hold-up pré­mé­di­té de l’élection. La messe est dite : ce sera un second tour Macron-Le Pen avec une vic­toire plau­sible du pre­mier sur la seconde, moins bien qu’en 2017 mais comme en 2017 tout de même.

    françois marcilhac.jpgQuant à la peur, ins­til­lée dans les médias contre une pos­sible vic­toire de l’hydre fas­ciste, elle n’a d’autre fonc­tion que de mobi­li­ser très en amont ceux qui seraient ten­tés par l’abstention. D’ailleurs qu’il s’agisse de la gauche ou de la droite dite répu­bli­caine, c’est à celui qui, comme si son hon­neur en dépen­dait, appelle déjà à voter Macron au second tour de 2022. Ain­si, récem­ment sur France. Inter, pour Jadot, le pré­su­mé can­di­dat éco­lo­giste, ou pour Benoît Hamon, le pré­sident de Génération.s (sic), qui a fini de saper la mai­son socia­liste en 2017, le point ne se dis­cute même pas, ce qui montre qu’ils s’inscrivent déjà dans le sché­ma média­ti­co-poli­tique pré­éta­bli. Quant aux LR, qui hésitent, pour la pro­chaine pré­si­den­tielle, entre dis­pa­raître et ne plus exis­ter, on ima­gine mal que, quelques indi­vi­dua­li­tés mises à part, ils appellent à voter pour Marine Le Pen. 

    Celle-ci ne ménage pour­tant pas ses efforts pour se rendre aus­si passe-par­tout que pos­sible : der­niè­re­ment encore s’agissant de la Cour euro­péenne des droits de l’homme, dont elle ne veut plus sor­tir, ne la consi­dé­rant plus comme un obs­tacle à la réa­li­sa­tion de ses objec­tifs. Or, comme la CEDH n’a pas modi­fié d’un iota sa phi­lo­so­phie — dis­pa­ri­tion des sou­ve­rai­ne­tés natio­nales et ins­tau­ra­tion de la démo­cra­tie uni­ver­selle sur fond de dic­ta­ture des juges —, cela revient à dire que c’est Marine Le Pen qui, de manière dra­co­nienne, a revu ses ambi­tions à la baisse. Tac­tique élec­to­rale sur fond de cynisme poli­tique ? Ce serait peut-être lui prê­ter un esprit de cal­cul qu’elle n’a pas. De manière plus plau­sible, elle est convain­cue, non sans quelque rai­son d’ailleurs, que les échecs pré­cé­dents du camp dit natio­nal sont dus en grande par­tie à un dis­cours anxio­gène — Frexit, sor­tie de l’euro —, dont l’effet, sur un suf­frage uni­ver­sel natu­rel­le­ment conser­va­teur de l’existant, fut d’autant plus dévas­ta­teur qu’il était conju­gué à un ama­teu­risme évident. Aus­si parie-t-elle sur un dis­cours inverse, qui, loin d’inquiéter les Fran­çais et les élites, vise à acqué­rir en cré­di­bi­li­té ce qu’il per­dra en vigueur. C’est ain­si que, sur fond de faux réa­lisme et de vrai manque de cou­rage poli­tique, le RN se conforme, au plan dit socié­tal, au pré­ten­du effet de cli­quet. C’est ain­si aus­si que, pour ras­su­rer tant les élites que les mar­chés, elle pro­clame un atta­che­ment tout neuf à la CEDH. On voit pour­tant où cet affa­dis­se­ment du dis­cours, ces mul­tiples red­di­tions avant le com­bat, qui, au nom de la recherche d’un consen­sus mou sur de pré­ten­dus acquis socié­taux, recon­naissent à la seule gauche le droit légi­time de divi­ser les Fran­çais, ont conduit la droite par­le­men­taire ! D’autant que, comme en témoigne, par exemple, après qua­rante ans, la tou­jours grande popu­la­ri­té de la peine de mort, dont le réta­blis­se­ment est pour­tant ren­du impos­sible par nos dif­fé­rents enga­ge­ments inter­na­tio­naux, les Fran­çais ne semblent pas convain­cus par la méta­phy­sique de l’effet de cliquet.

    Or, à force de ne plus faire la dif­fé­rence, on prend le risque de deve­nir insi­gni­fiant. Et de pas­ser d’un dis­cours anxio­gène à un dis­cours démo­bi­li­sa­teur. Un équi­libre est à trou­ver car, si la nor­ma­li­sa­tion peut aider à cas­ser le fameux pla­fond de verre, elle peut aus­si avoir pour effet de décou­ra­ger son élec­to­rat sans en gagner un autre. Car ce sera alors la com­pé­tence qui fera la dif­fé­rence : or le RN n’a jamais eu de res­pon­sa­bi­li­tés natio­nales. Ce ne sera pas, en tout cas, la pro­messe d’un quel­conque réfé­ren­dum sur l’immigration, d’autant que la ou les ques­tions posées, puisqu’il n’est plus ques­tion de quit­ter la CEDH, devront res­pec­ter les clous très contrai­gnants de cette ins­ti­tu­tion supra­na­tio­nale, très sus­cep­tible en matière de droits des migrants, réfu­giés et autres clan­des­tins. Autant dire qu’il s’agira d’un réfé­ren­dum pour rien. Tant que nos futurs gou­ver­nants ne se sou­vien­dront pas que l’Europe n’est rien sans la France, une expé­rience popu­liste ne pour­ra y finir qu’en eau de bou­din, comme en Italie.

    Tan­dis que, contrai­re­ment à son enga­ge­ment de 2017, Macron ne cesse d’abaisser la fonc­tion pré­si­den­tielle, notam­ment par un jeu­nisme sans sur­moi, qui est sur­tout une pro­fonde marque de mépris pour la jeu­nesse de notre pays, le prin­ci­pal han­di­cap de la France est l’uniformisation, sur fond de médio­cri­té, de sa classe poli­tique. La droite et la gauche par­ta­geant les mêmes tabous — l’Europe, les droits de l’homme, la sou­mis­sion aux évo­lu­tions socié­tales et à toutes les formes de mino­ri­tés, le mon­dia­lisme, la néces­si­té de l’immigration —, tout dis­cours qui s’en éloigne, si peu que ce soit, se trouve dia­bo­li­sé.  Nul besoin dès lors de faire dans le confor­misme, qui est un vrai ton­neau des Danaïdes.

    C’est d’un troi­sième homme que la France a besoin, dont la res­pon­sa­bi­li­té his­to­rique sera d’assurer le pas­sage. Il ne le pour­ra qu’en tenant un dis­cours de véri­té aux Fran­çais, qui se mon­tre­ront plus récep­tifs que le pays légal l’imagine. Rien n’est encore joué, contrai­re­ment à la cer­ti­tude que veulent nous impo­ser les médias officiels.

    Fran­çois Marcilhac

    Source : https://www.actionfrancaise.net/