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Rechercher : Rémi Hugues. histoire

  • Sur TV Libertés, Saint Louis, le plus grand des Capétiens - La Petite Histoire.


    Roi juste et équitable qui aura marqué son temps au point d'être canonisé, Saint Louis reste aujourd'hui encore considéré comme le modèle du roi chrétien. Cela n'est pas un hasard si le XIIIe siècle qui fut le sien est appelé « le siècle de Saint Louis ». Petit-fils de Philippe Auguste et grand-père de Philippe Le Bel, Louis IX s'inscrit parfaitement dans cette dynastie capétienne qui a forgé la France. Le roi était pieux, menait une vie ascétique et austère, mais a gouverné son royaume d'une main aussi juste que ferme, renforçant le royaume et allant jusqu'à prendre la croix à deux reprises pour défendre la foi. Retour sur le règne unique au monde de Saint Louis, le plus grand des rois de France.

  • La Belle Histoire de France du 05/09/2021.

    Le règne de Louis XIV et les dernières années du cardinal Mazarin.

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  • La Belle Histoire de France du 12/09/2021.

    La fin du Roi Louis XIV.

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  • RÉVOLTE POPULAIRE : mépris de l'Histoire, issue désastreuse

     

    Nouveau Microsoft Publisher Document.jpgXavier Raufer est un essayiste, expert en questions de criminalité. Il a publié des ouvrages consacrés à la criminalité, au terrorisme et à l'insécurité urbaine.

    Il participe régulièrement à diverses publications de presse ou émissions télévisées.

    On lira avec intérêt l'entretien qu'il a donné à Atlantico le 4 décembre. A l'avant-veille d'une nouveau samedi de révolte qui pourrait, dans un sens ou dans un autre, être crucial. LFAR 

    Par  Xavier Raufer 

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    Après le marasme de samedi en sommes-nous  vraiment arrivés à un  moment où les  forces de  l'ordre ne peuvent plus contenir un mouvement  insurrectionnel  ?

    Si, elles le peuvent bien-sûr, et ce qui advient depuis  trois samedis est une honte. 

    Pillages et déprédations sont le fait, d'une part des Blacks Blocks et de l'autre, des racailles de banlieue. 

    Voyons tour à tour ce qu'il en est.

    A Paris et alentours (92, 93, 94) opère la Direction  du renseignement de la préfecture de police (DRPP, ex-RGPP), l'outil de  renseignement civil le plus ancien de France - et sur son territoire, le plus affuté. 

    L'auteur est formel : la DRPP connaît un par un les deux ou trois cents pires anars  et Black blocks et peut aisément, sur instruction, les cueillir au nid avant émeute  (dans les beaux quartiers ou divers squats...) pour les isoler quelques heures ; les  codes en vigueur le permettent. 

    En prime, ces milieux anarchistes grouillent d'indicateurs. En Ile-de-France, la PP connaît ainsi en détails les préparatifs d'une émeute. 

    Et l'Europe du renseignement existe : quand trente émeutiers allemands (les plus  aguerris), belges ou italiens, partent pour Paris se joindre à la « fête », un  signalement nominal est fourni. Ces alertes donnent l'immatriculation des  véhicules, des itinéraires, etc. (les « indics », toujours...). Dans ce  cas, un barrage  filtrant règle le problème.

    Ainsi, tout gouvernement français peut, sinon neutraliser une  émeute - du moins,  en  limiter à 90% les  dégâts. Exemple : avant l'élection présidentielle, les Black  blocks voulaient ravager le secteur du Zénith le 17 avril 2017, lors d'une réunion  du Front national. Prévenue (comme  d'usage), la police agit et l'affaire avorte. Or  cela, elle le peut toujours - même en décembre 2018.

    Racailles : voulant pourrir la situation et salir les manifestants, les autorités ont  rouvert le RER - Champs-Elysées le premier samedi de  manifestation des  « Gilets-Jaunes ». C'est alors que les pillages ont commencé. De la banlieue nord,  des bandes ont investi les « beaux-quartiers ». Policiers et gendarmes de terrain  l'affirment tous : c'est en fin de journée que les racailles surgies du RER ont pillé.  Voilà la réalité.

    Le gouvernement ne prendrait-il pas un risque à amalgamer les casseurs et  les gilets pour des  raisons purement politiques, étant donné le pouvoir de  nuisance des ultras et casseurs observé à Paris ?

    Agir ainsi est une folie politique. Le président Macron, son  Premier ministre et leur  cour ont négligé une règle cruciale, s'agissant de la France et du peuple français.  Règle que TOUS les présidents de la Ve République ont sinon  observée  avec  soin : attention aux peuples régicides. Sur les quelques cent vrais Etats-nations au  monde, trois ont tué leur souverain - non attentat ou accident, mais exécution  délibérée : l'Angleterre, Charles Ier, janvier 1649 ; la France, Louis  XVI, janvier  1793 et le Tsar, juillet 1918. Ces peuples-là subissent, courbent l'échine, acceptent  tout - soudain, un jour comme un autre, renversent violemment la table. 

    le Président Macron et sa cour n'ont pas vu la révolte arriver. Ils ont négligé  l'effrayant avertissement de Tocqueville, dans L'ancien régime et la révolution : « Il  est curieux de voir dans quelle sécurité étrange vivaient ceux qui occupaient les  étages supérieurs de l‘édifice social au moment même où la Révolution commençait, de les entendre, discourant entre eux sur les vertus du peuple, sa douceur, son dévouement, ses innocents plaisirs ; quand déjà 93 est sous leurs  pieds : spectacle ridicule et terrible ».

    En définitive, jusqu'à quel point la gestion par le ministère de l'Intérieur de cet événement est-elle à mettre en cause ?

    Chacun sait - d'abord les dirigeants de la police et de la gendarmerie - que M.  Castaner ne connaît rien à la sécurité ni au maintien de l'ordre et que M. Nunez  est le de facto ministre. Cela importe car le général en chef jouit d'un crucial pouvoir  d'impulsion sur toute bataille sérieuse. Mais en l'occurrence, après les trois  samedis terribles vécus par la capitale, tous les doigts accusateurs sont pointés  sur le préfet de police. 

    Manipulations obscures visant à piéger les manifestants, à les égarer et  discréditer ; à faire pourrir la situation, comme déjà dit plus haut.  En privé, les syndicats de  police sont furieux - et inquiets de l'avenir proche. A mesure que les samedis  passent,  ils voient se multiplier les demandes d'arrêt-maladie, dans les forces de  l'ordre du terrain. 

    De l'épuisement, bien- sûr - mais aussi un sourd dégoût, un refus de réprimer  ceux d'en face - qui comme eux, sont aussi de la France d'en bas, partagent leurs  frustrations et colères. Comme déjà souligné, la IVe République s'effondra suite à  une grève de la police. Là encore, l'histoire existe ; la négliger est lourd de  conséquence.     

    Xavier Raufer 
    Docteur en géopolitique et criminologue.
    Il enseigne dans les universités Panthéon-Assas (Paris II), George Mason (Washington DC) et Université de Sciences politiques et de droit (Pékin) 
  • Société • Fin du corps sexué, fin de l’histoire

    par Gérard Leclerc

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    Il y a de quoi se battre !

    Il est des sujets qu’il convient de ne pas mettre sur la sellette.

    Ainsi va un certain progressisme qui prétend décider de ce qui est moderne ou pas et s’oppose à toute discussion sérieuse de ce qu’elle tient pour définitivement acquis. D’où la surprise, voire la stupéfaction, lorsque parmi les vœux de l’opinion arrive en tête la remise en cause du mariage dit pour tous. C’est une sorte de sacrilège, car il n’est pas vrai que le sacrilège ait disparu aujourd’hui, il a simplement changé d’objet avec les déplacements de la sacralité. Il en va aussi de l’avortement qui constitue un droit absolu que ne saurait relativiser aucune requête de la conscience. Impossible de remettre en cause la notion de gender, dont Le Monde nous assurait sérieusement encore la semaine dernière qu’il ne constitue en rien une théorie philosophique, n’étant qu’un simple dispositif de recherche en sciences humaines.

    Toute objection à ces dogmes progressistes est considérée comme réactionnaire ou ultra-conservatrice, les mots employés étant autant d’armes d’intimidation pour faire taire les récalcitrants, car il s’agit bien d’une guerre, une guerre de l’esprit, dont, je le répète, les enjeux sont d’une rare gravité. Une révolution anthropologique est en cours, dont les médias ne nous montrent que quelques effets de surface. Les choses prennent une autre dimension lorsqu’on s’intéresse aux chercheurs de pointe qui vont jusqu’au bout de cette révolution. Et ces chercheurs sont en mesure d’exercer une pression intellectuelle qui change les mentalités courantes et dispose les sociétés à accepter ce qu’elles n’auraient jamais accepté autrefois. C’est d’une certaine façon la revanche des totalitarismes vaincus d’hier, qui ont inoculé durablement à la postérité l’usage de la transgression.

    Pour lutter contre cette déshumanisation dont Gunther Anders disait qu’elle était la conséquence de l’idée d’obsolescence de l’homme, il faut du courage, de la détermination. Heureusement, Anders et d’autres prophètes, tel un Philippe Muray, nous ont avertis à l’égard « d’une humanité techniquement réformée, réanimalisée, déshominisée… Fin du corps sexué. Fin de l’histoire. Fin de la distinction entre animal et humain. » Il y a de quoi se battre !  ■ 

    Gérard Leclerc
    Chronique diffusée sur Radio Notre-Dame le 22 janvier 2019.
  • Roman national contre déconstruction de notre histoire !, par Christian Vanneste.

    Dans son récent débat avec Zemmour, Philippe de Villiers disait l’importance du “Roman national” parce qu’il est indispensable à la construction d’un imaginaire collectif, et que celui-ci est nécessaire pour qu’il y ait un peuple, un “démos”, conscient de son unité et de sa continuité. Faut-il encore préciser que sans ce “démos”, il n’y a évidemment pas de démocratie puisque plus de peuple souverain.

    christian vanneste.jpgLa cohérence du discours du créateur du Puy-du-Fou est sans faille. Et il le montre en faisant valoir l’esprit de résistance identitaire, celui des Vendéens luttant contre la dictature jacobine et ses abstractions sanglantes, mais produisant aussi plus tard d’authentiques défenseurs de la République, de la France dans sa continuité, Clémenceau et De Lattre de Tassigny.

    Face à ce roc, il y a eu l’inconsistant président que les Français subissent. Entré dans un véritable délire de la repentance par rapport à l’Algérie ou au Rwanda, Macron a prétendu dans les pages du Figaro qu’il n’était ni dans la repentance, ni dans le déni. Dans le plus “pur” style mitterrandien du ni-ni, c’est-à-dire d’un mélange de rouerie et d’impuissance, il a voulu rassurer l’électorat modéré dont il souhaite bénéficier de l’aveuglement une nouvelle fois. Mais il est au contraire passé aux aveux sur la chaîne américaine CBS en osant proclamer qu’il fallait “déconstruire” l’histoire de France, autrement dit, qu’il fallait  passer notre roman national, notre identité à la grande lessiveuse de cerveaux.

    La première réaction devant une telle énormité est la stupeur. Comment les Français ont-ils pu élire un homme qui trahit à ce point la mission qui lui a été confiée ? Un homme d’Etat à la tête d’une nation se doit de viser à l’unité et à la continuité de celle-ci, à fierté de ses membres fondée sur la richesse d’une histoire capable de soulever l’espérance, de générer un avenir commun. Les Français découvrent leur “président” allant sur un chaîne étrangère dire qu’il faut jeter leur histoire par dessus bord parce qu’elle est vraiment trop moche. Il est arrivé que le pouvoir en France soit soumis à l’étranger, mais c’était après la défaite et sous le coup d’une occupation. Sans raison, Macron capitule devant la télé américaine, pour montrer à quel point il est dans la ligne, celle qui l’a amené à évoquer la ligne rouge que la Russie ne doit pas franchir, même lorsqu’elle défend ses intérêts dans son environnement proche et alors que les Américains, à des milliers de kilomètres de chez eux viennent lui tailler des croupières.

    La réflexion suggère ensuite une certaine cohérence dans la démarche, et c’est encore plus effrayant. Macron est le porte-parole local d’une idéologie, le mondialisme progressiste qui prétend unifier le monde en l’américanisant. Pour aller dans cette direction, il faut faire sauter le verrou des exceptions françaises, et le culte de l’histoire en est une. Criminels en Algérie, complices du génocide au Rwanda, héritiers de l’esclavage et de la colonisation, il faut que les Français dégurgitent leur histoire, n’en conservent qu’une mémoire souffrante et coupable, afin de devenir de simples humains sur un espace juridique sans frontière pour l’instant plus ou moins limité à l’Europe. L’arrivée massive d’autres humains facilitera le mélange et le broyage des identités. Alors, il n’y aura plus que des particules élémentaires qui pourront faire de ce qu’était la France, une “start-up nation”, comme les autres.

    Avec le terme de “déconstruction”, le “président” se gargarise comme d’habitude d’un mot précieux, philosophique dont il doit être ravi, et sans songer, semble-t-il que ce n’est pas du tout ce qu’on lui demande. Mais derrière ce mot, il révèle une ignorance, une incompétence qui font frémir. Ainsi donc, nous serions comme les Etats-Unis, mais pas tout-à-fait. La France souffrirait comme les Etats-Unis du racisme, mais elle n’y aurait pas répondu de la même manière parce qu’elle est une ancienne puissance coloniale qui n’est pas libérée de son passé colonial. 

    Il est vrai que la France subit l’influence actuelle des modes idéologiques américaines du wokisme, de la cancel culture, du racialisme. Cette importation est artificielle car précisément les Etats-Unis et la France sont totalement différents. La France a été marginalement coloniale, les Etats-Unis sont une colonie où les colons sont devenus la population. Les Noirs sont des descendants d’esclaves pour la plupart qui ont subi longtemps une discrimination y compris juridique alors qu’ils n’ont pas choisi d’être là. Leur “identité” réside au premier chef dans la couleur. A part dans les îles, où les Noirs sont majoritaires et occupent souvent le pouvoir local, rien de tel n’existe en France. La couleur n’est pas une identité. En revanche, dans la diversité des immigrations, qui n’ont rien de nécessaire, il y a des identités différentes, avec une difficulté principale qui repose non sur l’apparence physique, mais sur la culture, essentiellement déterminée par la religion. Et c’est en ne saisissant pas cette différence que Macron se trompe lourdement : on peut lutter contre le racisme lorsque celui-ci est univoque. Lorsqu’il s’agit d’un séparatisme qui dresse des communautés mues par des cultures opposées, l’action unilatérale aura un effet destructeur. Comme le montre Malika Sorel, lorsque l’Occident Chrétien croit faire preuve de compassion en se battant la coulpe et en s’agenouillant, beaucoup d’autres civilisations y voient une faiblesse contraires à la fierté et à l’honneur qui les animent. Qu’un Chef de l’Etat ne comprenne pas ça est affligeant !

    Source : https://www.christianvanneste.fr/

  • Sur C News, la Belle Histoire de France du 18/04/21.

    Le règne de Charles VI (1380-1422), le quatrième monarque de la branche de Valois.

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  • Sur C News, la Belle Histoire de France du 09/05/21.

    Le règne de Louis XI, dit le mal-aimé ou le prudent.

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  • Sur C News, la Belle Histoire de France du 16/05/21.

    La Renaissance en 1453 et le destin d’Anne de Bretagne, née en 1477.

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  • Sur C News, la Belle Histoire de France du 23/05/21.

    Symbole de la Renaissance, François d’Angoulême.

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  • Sur Valeurs Actuelles, la NAISSANCE de la FRANCE [HISTOIRE DE #1- Tolbiac]

    C’est à la suite d’une victoire inespérée à Tolbiac, lors d’une bataille opposant les tribus germaniques aux troupes de Clovis, tandis qu’il refusait jusqu’ici de suivre son épouse Clotilde à se convertir au christianisme, c'était le début d'une grande aventure nommée France.