Sur l'Islam et les Turcs.
"Sans parler du crime religieux que les Grecs auraient commis en abjurant leurs autels, ils n'auraient rien gagné à se soumettre au Coran. Il n'y a dans le livre de Mahomet ni principe de civilisation, ni précepte qui puisse élever le caractère: ce livre ne prêche ni la haine de la tyrannie, ni l'amour de la liberté.
En suivant le culte de leurs maîtres, les Grecs auraient renoncé aux lettres et aux arts, pour devenir les soldats de la destinée, et pour obéir aveuglément aux caprices d'un chef absolu. Ils auraient passé leurs jours à ravager le monde, ou à dormir sur un tapis, au milieu des femmes et des parfums."
Itinéraire de Paris à Jérusalem et de Jérusalem à Paris, La Pléiade, pages 908/909.