De Louis Aragon, sur Bonchamps....
"...Regardez-le bien, ce jeune homme, ce général de 34 ans, dans toute la force de l'âge, ce chef de Partisans, mortellement atteint.
Le bras droit qu'il lève, c'est celui qui fut fracassé à Torfou; la poitrine, puissante, est enflée par le cri de l'agonisant.
Tout, le mouvement du cou, de la bouche, tout s'achève dans ce cri...
Regardez bien, car ceci c'est la France, et vous ne me direz plus que l'art n'a pas de patrie..."