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les hommes libres

  • Mini dossier sur "Les hommes libres" : en commençant par la réaction de Daniel Lefeuvre...

            Depuis plusieurs jours déjà, et aujourd'hui plus encore, de nombreux journalistes et autres parlent du "17 octobre 61"... La tonalité des interventions sur les ondes est, on s'en doute, toujours la même : on connaît bien les opinions politiques de l'immense majorité des journalistes, depuis 1945. Ils s'en donnent à coeur joie, pour écrire, ou re-écrire l'Histoire puisque, avec eux, c'est très simple : il y a d'un côté les bons et de l'autre les méchants : les bons, c'est-à-dire eux-mêmes, évidemment, qui savent où est le Bien et où est le Mal, et qui font quotidiennement le Jugement dernier, en désignant chaque jour, à chaque occasion et sur tout sujet qui sont les méchants : les méchants, ce sont ceux que eux-mêmes, ces journalistes, ont décrété tels.

            On schématise à peine : cette affaire du "17 octobre 61", traitée sans aucune nuance, en est une preuve supplémentaire.

            Pourtant, ce n'est pas sur ce point précis que nous nous arrêterons aujourd'hui, mais - on restera dans les mêmes eaux... - sur le film Les hommes libres, et la façon dont la désinformation et les erreurs ( ou les mensonges ?...) ont été relevés oar ceux qui ne "gobent" pas tout ce que disent les journalistes et intellos - ou réputés tels par eux-mêmes et leurs amis.

    PS : rien à voir, et pourtant... : dans le dernier numéro du Figaro magazine (15 octobre), dans lequel plusieurs pages sont conscacrées au Politiquement incorrect de Sévillia, on voit une intéressante photos de troupes françaises d'Afrique défilant sur les Champs Elysées, avec une légende/commentaire rappelant que Djamel Debbouze affirmait que les troupes d'Afrique avaient été interdites de Défilé... Un Djamel Debbouze qui, s'il est avec la gauche et la gauche extrême, ici, est - rappelons-le - un grand royaliste chez lui, au Maroc, et un fidèle dévot d'un roi et d'un régime malgré tout assez "énérgiques", pour lequel la gauche, du temps de son père, ne trouvait pas de mots assez durs. Alors, Debbouze, l'équilibriste entre royalistes - là-bas -et gauche - ici -, est-il, en l'occurrence, dans l'erreur ou dans le mensonge ?...

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