Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...
Rejeter "l'article 8" de la CEDH et la "circulaire Valls" !
Qui est prêt, demande Amine Elbahi ?
Déjà, nous... !
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lafautearousseau, c'est plus de 28.000 Notes ou articles (et autant de "commentaires" !), 21 Albums, 49 Grands Textes, 33 PDF, 16 Pages, 366 Éphémérides...
Il est naturel que nos nouveaux lecteurs, et même certains plus anciens, se perdent un peu dans cette masse de documents, comme dans une grande bibliothèque, et passent ainsi à côté de choses qui pourraient les intéresser...
Aussi avons-nous résolu de "sortir", assez régulièrement, tel ou tel de ces documents, afin d'inciter chacun à se plonger, sans modération, dans ce riche Fonds, sans cesse augmenté depuis la création de lafautearousseau, le 28 février 2007...
Aujourd'hui : Christian de Troyes...
(tiré de notre Éphéméride du 13 juin)
(retrouvez l'ensemble de ces "incitations" dans notre Catégorie :
À la découverte du "Fonds lafautearousseau")
AVEC KARIM OUCHIKH (ET BIEN D'AUTRES !) EN DÉFENSE DE FRANCK FERRAND !
"J’écoute Franck Ferrand, je le lis et l’apprécie. Le talentueux historien est victime d’une cabale lancée par Libé. Derrière cette police de la pensée, une inquiétude perce à gauche : la perte de son magistère intellectuel sur notre société. C’est en cours et c’est tant mieux."
On connaît le dicton : "La bave du crapaud n'atteint pas la blanche colombe !" Libé crache en l'air, et son crachat lui retombe dessus...
VIVE FRANCK FERRAND !
ET MERDE À LIBÉ !
A l’affiche : Memento, reprise d’un film américain (2000) (VOSTF) de Christopher Nolan, avec Guy Pearce (Léonard Selby).
Memento… « A voir plusieurs fois pour pleinement le comprendre et l'apprécier comme il se doit », c’est un commentaire que nous lisons d’un spectateur et, effectivement, la jeune fille l’avait déjà vu, avec qui nous en avons parlé au sortir du cinéma.
Elle nous a même précisé, spontanément, qu’une première séance en VOSTF devait être particulièrement difficile.
Tout ça pour dire que la mise en scène de cet individu à la mémoire de poisson rouge, qui veut se venger du viol et du meurtre de sa femme, était trop compliquée pour nos cervelles de moineau.
Peut-être faudrait-il y retourner en VF ?
Nous avions vu, il y a six ans, du même réalisateur un excellent Dunkerque dont j’avais écrit qu’il aurait été dommage de ne pas le voir.
Jean-Christophe Buisson continue d'alerter inlassablement sur ce qui se rapproche de plus en plus de l'épuration ethnique et du génocide en Artsakh :
https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/documentaire-pour-l-armenie
La beauté sauvera le monde !...
Offert par la Marine nationale : merci à elle !
https://twitter.com/MarineNationale/status/1680254482410532864?s=20
Damas, la capitale de la Syrie, est une des plus vieilles villes du monde. Déjà habitée du temps des Babyloniens ou des Assyriens, elle régna longtemps sur d’immenses territoires. Les Hittites, les Perses, les Romains, les Byzantins s’y succédèrent puis les Arabes et l’islam s’implantèrent au VIIe siècle. Damas régna alors sur un immense empire qui s’étendait jusqu’en Espagne et en Asie centrale et qu’on appelait la dynastie des Omeyades.
Mais dès le VIIIe siècle, le califat de Bagdad supplanta Damas. Ce fut la période de l’Empire abasside auquel succéda le règne des Mamelouks, venus d’Egypte, au XIIIe siècle. Les Ottomans chassèrent ensuite les Mamelouks et la Syrie subit leur joug de 1516 à 1918.
Veut-on une leçon tirée de la Fête nationale, jour de la Fête de la Fédération de 1790 (et non de l'horreur sanguinaire du 14 juillet 89, avec ses têtes au bout de piques) ?
En voici une magnifique, exprimée par un membre éminent de notre Légion étrangère, fondée par Louis-Philippe :
"Nous autres étrangers n’avons qu’une façon de prouver notre gratitude à la France pour l’accueil qu’elle nous a réservé : mourir pour elle" (Colonel Dimitri Amilakvari, chef de corps de la 13ème DBLE, mort pour la France le 24 octobre 1942)
A l’affiche : Vers un avenir radieux, un film italien (VOSTF) de Nanni Moretti, avec Nanni Moretti (Giovanni, le réalisateur) et Mathieu Amalric (Pierre).
Vers un avenir radieux… Le scénario n’est pas passionnant sur un cinéaste italien imbu de lui-même que son épouse cherche à quitter, mais l’intérêt du long métrage est ailleurs sur le film dans le film, à savoir la révolution hongroise de 1956 et l’entrée des chars soviétiques dans Budapest, le 2 novembre, pour l’écraser.
Selon l’historien Michel Mourre, on dénombra 25 000 morts.
Ma génération s’en souvient (j’étais dans ma dixième année) et sans doute faut-il préciser qu’à l’époque le maître du Kremlin était Nikita Kroutchev, celui-là même qui avait présenté, quelques mois plus tôt, au XXème congrès du Parti communiste d’Union Soviétique réuni à huis-clos, un rapport lançant une campagne de « déstalinisation ».
Vers un avenir radieux… c’est la bulle de la dernière vignette de la BD de Nury et Robin : La Mort de Staline.
Notre excellent ami Antoine de Lacoste vient de m'envoyer son dernier article, La Syrie ou le grand combat contre l’islamisme.
Je l'en ai remercié, et félicité car, vous le verrez lundi, cet article est, heureusement, assez long pour épuiser le sujet, s'il n'épuisera pas le lecteur : enfin, tant de choses que l'on sait, mais parfois mal, ou approximativement, ou insuffisamment et imparfaitement, sont, là, replacées dans leurs causes lointaines, et tout s'ordonne à merveille pour que chacun arrive à une compréhesion claire et complète de ce si vaste sujet...
À lundi, donc, pour une très enrichissante lecture...
François Davin,
Blogmestre