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Feuilleton : Vendée, "Guerre de Géants"... - Page 4

  • Feuilleton "Vendée, Guerre de Géants..." (46)

     

    (retrouvez l'intégralité des textes et documents de cette visite, sous sa forme de feuilleton ou bien sous sa forme d'Album)

     

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    Aujourd'hui : Vendée 1793-1794

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    Par Jacques Villemain, Le Cerf, 304 pages, 24 euros.

     

    Si les faits qui se sont produits en Vendée en 1793-1794 avaient lieu aujourd'hui, comment seraient-ils qualifiés au regard du droit pénal international : crimes de guerre ? crimes contre l'humanité ? crime de génocide ? Et qui sont ceux dont la responsabilité pénale devrait être mise en cause ?

    Telles sont les questions auxquelles ce livre essaie de répondre.

    Une polémique est née aux alentours de la célébration du bicentenaire de la Révolution française à propos d'un "Génocide franco-français" qui aurait été commis en Vendée.
    Ce n'est cependant que dans le courant de la décennie suivante que les crises de l'ex-Yougoslavie et du Rwanda et les violences qu'elles ont engendrées ont donné lieu à l'institution de Tribunaux pénaux internationaux spécialisés en 1993 et 1994, puis d'une Cour pénale internationale en 1998 qui ont précisé les concepts de crime contre l'humanité et de crime de génocide et actualisé la jurisprudence sur les crimes de guerre.

    "Génocide" est le nom d'un crime. C'est donc par une analyse juridique au regard des normes du Droit précisées par les tragiques expériences du XXème siècle que doivent être complétées, voire révisées, les analyses historiennes sur cette controverse.

    Diplomate et juriste, Jacques Villemain a travaillé pendant plusieurs années sur les questions de justice et de droit pénal international et sur la guerre de Vendée.


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  • Feuilleton "Vendée, Guerre de Géants..." (47)

     

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    Aujourd'hui : Nouvelle histoire des Guerres de Vendée

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    Par Jean-Noël Brégeon et Gérard Guicheteau, Perrin, 424 pages, 30 euros

     

    Une nouvelle lecture des guerres de Vendée

    Les Guerres de Vendée, qui courent de 1793 à 1832, ont suscité l'émulation de bien des historiens. Il s'agit d'une guerre civile, la plus sanglante qu'ait connue la France depuis les guerres de Religion au XVIème siècle. La plus féroce jusqu'à nos jours. Faute de mieux, on les a appelées ainsi, car l'épicentre en était le département de la Vendée, mais elles se sont répandues ensuite, touchant presque tout l'Ouest.

    L'ambition des auteurs a été d'en proposer une nouvelle lecture qui ne désigne pas les "méchants" pour mieux exalter les "bons". Les historiens royalistes favorables aux Vendéens ont donné des récits qui jouent de la victimisation pour mieux apitoyer leurs lecteurs. Les historiens républicains, de filiation jacobine, ont minimisé les souffrances des vaincus, souligné leur sauvagerie, pour mieux exalter l'héroïsme des Bleus.

    Les Guerres de Vendée ont coûté la vie à plusieurs dizaines de milliers de Français. Si les atrocités se rencontrent dans les deux camps, le plus inquiétant est l'apparition d'une idéologie exterminatrice dans les rangs jacobins. Des hommes à Paris (Robespierre, Couthon, Barère...), sur place (Carrier, Turreau, Francastel...) ont trempé dans ce processus sans précédent. Ils l'ont décidé, appliqué et se sont félicités des résultats. Ce fut là comme le péché originel, matriciel, de la République française. Les régimes totalitaires du XXème siècle y puisèrent argumentaires et méthodes.

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  • Feuilleton "Vendée, Guerre de Géants..." (48)

     

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    Aujourd'hui : 2017 : la charge de Patrick Buisson...

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    La grande histoire des guerres de Vendée, par Patrick Buisson (avec une préface de Philippe de Villiers).
    En 300 pages, l'ouvrage-référence !...



    Qui mieux que l'auteur de La Cause du peuple et directeur de La Chaîne Histoire pouvait mettre en mots et en images la guerre emblématique de la Contre-Révolution ?
    Patrick Buisson a réalisé de bout en bout ce superbe album qui comprend quelque 150 illustrations, dont de nombreuses méconnues ou inédites : tableaux, gravures, drapeaux, vitraux, emblèmes, armes et objets éclairent un texte original et enlevé qui fait une large place à des mémoires et témoignages contemporains.

     

     

    ... et la "Petite histoire", par Henri Servien

     

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    La "Petite histoire des guerres de Vendée" d'Henri Servien est un livre très complet et précis sur la question (185 pages), tout à fait remarquable : l'essentiel est dit, nul besoin de lire des centaines d'autres pages sur le sujet !
    Les faits y sont exposés de manière claire, illustrés par de courtes biographies des personnages les plus importants et agrémentés d'images, voire même de schémas de ci de là.
    À la fin du livre, se trouve une chronologie des principaux événements sous forme de tableau.
    Vraiment excellent !

     

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  • Feuilleton "Vendée, Guerre de Géants..." (49)

     

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    Aujourd'hui :  "Crois ou meurs !" de Claude Quétel

    Crois ou meurs ! Histoire incorrecte de la Révolution - broché - Claude  Quétel - Achat Livre | fnac

    Paru le 28 mars 2019 : "Crois ou meurs ! Histoire incorretce de la Révolution française", par Claude Quétel.



    Présentation de l'éditeur :

    "Crois ou meurs ! Voilà l’anathème que prononcent les esprits ardents au nom de la liberté !" Ainsi s’indigne le journaliste Jacques Mallet du Pan dans le Mercure de France du 16 octobre 1789, au tout début de la Révolution. Voilà qui s’inscrit en faux contre la thèse, solidement ancrée aujourd’hui, de deux révolutions : une bonne, celle des droits de l’homme, qui aurait dérapé pour aboutir à une mauvaise, celle de la Terreur.

    Et si la Révolution tout entière avait été un immense, un désolant gâchis, et ce dès les premiers jours ?

    Et si ce qui a été longtemps présenté comme le soulèvement de tout un peuple n’avait été qu’une folie meurtrière et inutile, une guerre civile dont l’enjeu mémoriel divise toujours les Français ?

    Il fallait reprendre l’enquête en revisitant les événements, en les décryptant et en se libérant de l’historiquement correct.

    Ce récit circonstancié s’adresse à tous ceux qui souhaitent qu’on leur raconte enfin une autre histoire de la Révolution française, la vraie."


    Dès la parution de l'ouvrage, Jean Sévillia écrit dans Le Figaro magazine du 29 mars qu'il s'agit d'un "livre iconoclaste, à lire d'urgence" et lui consacre son billet hebdomadaire "La page d'Histoire de Jean Sévillia, sous le titre éloquent : Un pavé dans la mare révolutionnaire : Signé Claude Quétel, un récit de la Révolution qui déconstruit les mythes

    Voici le texte intégral de ce court billet :

    "Entre 1986 et 1989, environ 8OO livres ont paru à l'occasion du bicentenaire de la Révolution française. Trente ans plus tard, l'enthousiasme n'est plus au rendez-vous : les parutions nouvelles sur la période 1789 -1799 sont en proportion peu nombreuses, et rares sont les livres qui sortent du lot. En voici un, au moins qu'on n'oubliera pas : ne craignant pas de détoner, l'ouvrage, tranquillement, ouvertement, est une charge contre la Révolution française.
    Directeur de recherche honoraire au CNRS, ancien directeur scientifique du Mémorial de Caen, Claude Quétel est un spécialiste du XVIIIème siècle qui s'est intéressé à l'histoire de la folie et de la psychiatrie. Puis ses activités l'ont conduit à écrire sur la Seconde Guerre mondiale. Mais de n'être pas un spécialiste de la Révolution française lui confère, précisément, une précieuse liberté vis-à-vis des gardiens du Temple. Elle lui permet, en l'occurrence, d'aboutir à une conclusion qu'il énonce sans ambages dès l'introduction : "La Révolution française fut un épisode exécrable, de bout en bout, de l'histoire de France. Elle ne fut pas le magnifique soulèvement de tout un peuple mais une folie meurtrière et inutile, une guerre civile dont la mémoire continue aujourd'hui encore à diviser fondamentalement les Français."
    Claude Quétel connaît trop bien le métier pour s'aventurer sans biscuits. Outre l'abondante bibliographie qui signale ses sources, l' "essai historiographique critique" situé à la fin du volume prouve que ce prétendu non-spécialiste maîtrise fort bien son sujet. De la prise de la Bastille à la conquête du pouvoir par Bonaparte, son récit montre donc la part essentielle de la violence dans le phénomène révolutionnaire ("Crois ou meurs"), une violence qui, commencée en 1789, n'a pas attendu la Terreur de 1793 pour se déployer. La Révolution, certes, a eu le mérite de faire aboutir des réformes que la monarchie n'avait pas su mener à bien. Elle a cependant inventé les droits de l'homme pour les violer tous, et inauguré la dictature des minorités radicales sur la majorité silencieuse, gouvernant au nom du peuple mais sans lui, et souvent contre lui.
    Un livre iconoclaste, à lire d'urgence."

     

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  • Feuilleton "Vendée, Guerre de Géants..." (50)

     

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    Aujourd'hui : Génocide en Vendée

     

    Génocide en Vendée

     

    Pourquoi c’est un génocide.

    Pourquoi il n’est pas reconnu.

    Pourquoi et comment il devrait l’être.

    Mars 1793 : la Vendée se soulève pour défendre ses « bons prêtres » et se bat pour le retour d’un roi qui protégerait cette religion que le nouveau régime persécute.
    Au cours de la guerre qui suivra, 21 à 23 % de la population de la région (170.000 personnes environ, surtout femmes, enfants et vieillards) périra.

    Utilisant la méthode du droit pénal international telle qu’elle s’est développée dans l’analyse des génocides commis en ex-Yougoslavie, au Rwanda, au Cambodge, sans négliger l’expérience du tribunal de Nuremberg, Jacques Villemain démontre que ces massacres entrent parfaitement dans la définition de ce « crime des crimes ».

    Comment en est-on arrivé là ? Pourquoi a-t-on tant de mal en France à regarder ces faits en face ?
    Pourquoi serait-il bon de mettre derrière nous cette tragédie en reconnaissant enfin la nature de ces crimes, et comment le faire dans des conditions qui honorent notre attachement aux droits de l’homme et notre unité nationale ?

    Une enquête sans précédent.

    Diplomate et juriste, Jacques Villemain a travaillé pendant plusieurs années sur les questions de justice et de droit pénal international, et sur la guerre de Vendée.
    Il est l’auteur aux Éditions du Cerf de "Vendée, 1793-1794".

     

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  • Feuilleton "Vendée, Guerre de Géants..." (51)

     

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    Aujourd'hui : L'épopée de la Vendée

     

    Amazon.fr - L´Épopée de la Vendée - Pichot-Bravard, Philippe - Livres

     

    Autour de 1830, un gentilhomme vendéen confie ses souvenirs sur la Révolution et les guerres de Vendée.
    Personnage injustement méconnu, le comte de La Helgue a nourri ses mémoires du récit de ses compagnons d’armes, gentilshommes et paysans.
    Fidèle serviteur du roi Louis XVI, le comte de La Helgue est aux Tuileries le 10 août.
    Avec les siens, il échappe de justesse aux massacres de Septembre.
    Au mois de mars 1793, les paysans de sa paroisse d’Anjou viennent lui demander de prendre leur commandement.
    Avec son fils, ses amis et ses vassaux, il rejoint alors Bonchamps dont il est l’un des lieutenants. Il combat dans la Vendée, avant de suivre l’Armée catholique et royale dans la Virée de Galerne.
    Blessé lors de la déroute du Mans, rescapé de Savenay, il rentre sur ses terres prendre la tête de la résistance face aux Colonnes infernales qui exterminent la population.
    Plus tard, il rejoint la chouannerie bretonne, combattant sous les ordres de Georges Cadoudal à la lisière de la forêt de Brocéliande.
    Au cours de ces années terribles, il voit mourir nombre de ses proches, noyés, guillotinés ou tués dans le bocage.
    Son épopée s’identifie donc avec celle des guerres de Vendée, et sa plume enlevée témoigne au cœur des violences de la Révolution de cet esprit français qui fait tout le charme du XVIIIème siècle.
    Elle dépeint des manants prenant les armes pour défendre leur foi, leurs familles, leurs libertés et leur terre, illustrant la force d’âme de ces paysans et gentilshommes, unis dans une même résistance héroïque à la régénération totalitaire imposée par la Convention, fidèles à Dieu, fidèles au Roi.

    De racines bretonnes et mayennaises, Philippe Pichot-Bravard est historien du droit, Maître de conférences H.D.R. à l’université de Brest.
    Outre plusieurs ouvrages et articles scientifiques, il a publié trois romans.
    Spécialiste de la Révolution française, il lui a consacré une étude : La Révolution française (Via Romana, 2015) couronnée par le Prix Renaissance.

     

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  • Feuilleton "Vendée, Guerre de Géants..." (52)

     

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    Aujourd'hui : Janvier 2023 : sortie du film "Vaincre ou mourir"

     

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    J’AI VU "VAINCRE OU MOURIR" : enthousiaste, P.P. Blancher (du Groupe d'action royaliste) raconte :

    "Enfin un film sur les Guerres de Vendée, pourrions-nous dire. Un film français qui met en exergue des héros de notre histoire, ce n’est pas vraiment ce qui court les salles obscures du monde cinématographique « français » républicain. On se souvient du film de Luc Besson traitant d’une grande héroïne de notre histoire, et pas des moindres, puisqu’il s’agissait de notre très Sainte Jeanne d’Arc. Ce film, qui date déjà de 1999, est un véritable navet grotesque qui s’acharne à faire ce que les Anglais n’avaient su faire à cette époque, à savoir, rendre folle notre Sainte héroïne. Héroïne incarnée par l’hystérique Milla Jovovitch. Bref ! Une vraie bouse insultant notre histoire et notre religion, mais qu’attendre de plus de la part d’un anti-français comme Besson ?

    Avec « Vaincre ou mourir » c’est doublement surprenant. Car, non seulement il s’agit d’un film retraçant d’une manière assez fidèle, les péripéties d’un de nos grands héros de notre histoire, mais qui plus est, un héros en lutte contre les forces révolutionnaires, et donc par extension, contre la république ! Double crime au regard du monde moderne républicain, américanisé et wokiste !

    Sortie le 25 janvier, ce film a déjà fait l’objet de quelques critiques dans les colonnes (infernales) du « journal » Libération. C’est une certaine Elisabeth Franck-Dumas, journaliste de ce torchon, qui nous a fait part de son incroyable maîtrise de la bêtise et de l’ignorance. Les républicains de Libération sont exaspérés par l’existence même de ce film, qui représente à leurs yeux tout ce qu’ils détestent le plus au monde : la France ! En tant que royaliste, il était donc tout naturel pour ma part que j’aille voir ce film qui suscite autant de dégoût chez l’anti-France, mais surtout parce qu’il s’agit du général Charette.

    « Vaincre ou mourir » est la première production de « Puy du Fou Films » avec pour réalisateurs Paul Mignot et Vincent Mottez (Vinsorus) pour ceux qui ont connu… On comprend déjà mieux l’origine de l’existence même de ce film. Le parc du Puy du Fou qui est déjà à lui seul une véritable vitrine à la gloire de notre histoire mais aussi, en partie, de la contre-révolution ! Après le parc, voici qu’arrive maintenant un film ! De quoi donner la jaunisse à nos chers républicains…

    Au premier abord, la présence de quelques acteurs m’avait un peu gêné, entre autres, l’acteur Jean-Hugues Anglade qui n’est pas vraiment réputé pour son côté patriote ! C’est peut-être pour cela d’ailleurs qu’ils l’ont cantonné à jouer le rôle du conventionnel Albert Ruelle (1754-1805) chargé de diriger la lutte contre les Vendéens.

    Néanmoins, je paie mon billet comme tout le monde et m’installe sur un strapontin du cinéma. Le film commence par une intervention de l’historien Reynald Secher. Oui ! Celui qui, de par ses travaux, a mis en évidence le fait que ce qui s’était passé en Vendée durant la révolution, relevait du génocide ! Ça commence bien ! Je comprends mieux pourquoi cette chère Elisabeth Franck-Dumas s’est sentie dans l’obligation de nous pondre une incroyable analyse digne d’une télé-réalité.

    Sans vouloir divulguer le contenu du film, par respect pour ceux qui ne l’ont pas encore vu, voici quelles sont mes impressions. Certes, c’est un film qui dispose malheureusement de beaucoup moins de moyens que le « Jeanne d’Arc » de Besson. Cela se ressent quelque peu, mais dans l’ensemble, c’est une jouissance ! Voir un film au cinéma, avec des drapeaux « Pour Dieu et le Roi », entendre Charette dire à ses hommes, tous flanqués d’un sacré-coeur : « Nous sommes le dernier rempart d’un royaume de mille ans » chose qui caractérise toujours les Royalistes d’aujourd’hui. Voir enfin, le vrai visage des armées républicaines de cette époque, leur férocité dans le carnage et leur fanatisme ! Ça change des récits imaginaires de l’Éducation dite « Nationale » sur ce sujet.

    Dans ce film, les répliques du général Charette sont assez percutantes, même si l’acteur a tendance à s’exprimer sur un ton uniforme. Dommage quand même de lui avoir fait dire que nous étions la jeunesse du « monde » ! Dans la citation d’origine, il dit à ses hommes que nous sommes la jeunesse de Dieu, et pas celle du monde, ce qui religieusement fait toute la différence ! Jean-Hugues Anglade tient la route dans son rôle, les autres acteurs aussi. Les scènes de combat sont assez bien réalisées dans l’ensemble.

    Bref ! C’est un film qu’il faut impérativement aller voir, ne serait-ce que pour s’abreuver du courage et du sacrifice consenti de la part de tous ces combattants contre-révolutionnaires. Cela fait du bien de voir un film qui fait la part belle au panache français et au sens de l’honneur, dans un monde qui est l’aboutissement des idéaux révolutionnaires. Un grand merci à toute l’équipe du Puy du Fou pour tout ce travail. Espérons que « Vaincre ou mourir » n’est que le premier d’une longue série à la gloire de notre histoire et de nos glorieux ancêtres.

    Plus que jamais, aujourd’hui comme en 1793, pour Dieu, la France et le Roi !"

     

     

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  • Feuilleton "Vendée, Guerre de Géants..." (53)

     

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    Aujourd'hui : Anne Brassié reçoit Reynald Sécher pour présenter "Vaincre ou mourir"

     

     

     

     

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