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Au cinéma, la chronique de Guilhem de Tarlé : Illusions perdues.

1A.jpgA l’affiche : Illusions perdues, un film français de Xavier Giannoli, avec Benjamin Voisin (Lucien Chardon – de Rubempré ), Cécile de France (Louise de Bargeton), Vincent Lacoste (Étienne Lousteau), Gérard Depardieu (Dauriat), Salomé Dewaels (Coralie), Xavier Dolan (Nathan d’Anastazio), Jeanna Balibar (Marquise d’Espard), André Marcon (Baron du Châtelet), d’après le roman éponyme d’Honoré de Balzac.

guilhem de tarlé.jpgIllusions perdues… Si j’avais cru en la démocratie et en la « gueuse », comme disait mon grand-père, j’aurais perdu mes illusions à voir, « pour notre bien », notre peuple se soumettre (islamisé, avant même d’être grand-remplacé) aux obligations « sanitaires » gouvernementales. Zemmour l’avait annoncé – prophétisé - en 2014 dans Le Suicide français : « en finir avec la cigarette, réduire notre consommation d’alcool, manger cinq fruits et légumes par jour, marcher trente minutes par jour, bouger, mettre un préservatif pour éviter le sida, prévenir le cancer du sein et de l’utérus, surveiller son taux de cholestérol et sa tension, mettre sa ceinture de sécurité au volant, son casque à moto,, réduire sa vitesse sur les routes (…) un État maternel qui infantiliserait et culpabiliserait »… Et maintenant le masque (dedans, dehors), les gestes barrière, le confinement, l’obligation du vaccin (1, dose, 2 doses, 3 doses, 4…) et le « pass sanitaire » !
je refuse de m’agenouiller (comme un vulgaire footballeur) devant ces injonctions liberticides ; je me refuse à me masquer et à arborer un QR Code durant le reste de mon existence.

Après 3 mois d’abstinence imposée, J’ai donc triché - et j’en suis fier - pour retourner au cinéma avec un faux-vrai QR !

Illusions perdues, à nouveau un bon film de Xavier Giannoli, dont on avait déjà aimé A l’origine (2009) Marguerite (2015) et L’Apparition (2018) ;  un beau film, malheureusement trop long (2H30) et pêchant par exhibitionnisme, mais portant un regard jouissif sur les travers de cette « comédie humaine » dont, de Louis-Philippe à nos jours, on constate la permanence avec la corruption et mauvaise foi assumée des journalistes et des critiques.

Question : pourquoi Éric Zemmour a-t-il attribué le nom de Rubempré à sa maison d’édition ?

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