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Sur le blog de Marc Rousset : (1/4) heureux comme un clandestin en France, par Paul Tormenen.

Sources : https://www.polemia.com/

http://marcrousset.over-blog.com/

Les Français ont des dirigeants formidables. Alors que la France est confrontée à une crise sociale, économique et identitaire d’une rare ampleur, nos gouvernants font tout pour que notre pays devienne le réceptacle de la misère du monde. Ces propos sont-ils exagérés ? Nous vous livrons quelques faits bruts afin de vous forger votre opinion, en préambule à l’analyse critique de la partie du rapport de la Cour des comptes consacrée à l’immigration illégale, rendu public le 5 mai.

Il fut un temps où le fait de pénétrer massivement et clandestinement dans un pays était appelé une invasion. Au vu des flux massifs de clandestins qui arrivent en France, nos dirigeants ont dû oublier que nos anciens se sont battus pour défendre l’intégrité et la culture de notre pays. Les nombreux signes de bienvenue qu’ils lancent à l’adresse des clandestins en témoignent.

Des clandestins de plus en plus nombreux à entrer en France

 Pour mesurer l’ampleur de l’immigration clandestine, Le Figaro révélait dans un article paru en mars 2018 l’explosion du nombre de clandestins recensés arrivant chaque année en France, qui est passé de 26 000 en 2014 à 79 500 en 2017 selon le Pôle national d’analyse migratoire rattaché au ministère de l’Intérieur (1). Depuis 2018, l’administration ne divulgue plus ces statistiques annuelles. Voudrait-on cacher la température du patient en cassant le thermomètre ?

Relocalisations des clandestins : la France en première ligne

Chaque année, des centaines de milliers d’extra-Européens arrivent clandestinement par la mer ou par la terre dans les pays du sud de l’Europe, souvent aidés en cela par de multiples O.N.G. La Grèce, l’Italie et l’Espagne sont en première ligne de cette invasion migratoire qui ne dit pas son nom et qui est relancée dès la fin du confinement, comme le constate déjà l’agence européenne de garde-frontières Frontex (2).

La Commission européenne et les pays les plus en pointe pour organiser la submersion migratoire de l’Europe, la France et l’Allemagne, font actuellement pression pour que l’ensemble des pays européens allège le fardeau des pays dits de « premier accueil ». En renvoyant les clandestins chez eux, comme la raison le commanderait ? Certainement pas. Avant qu’une « clef de répartition » permanente soit mise en place, un cartel de pays dont les gouvernants sont de fervents immigrationnistes propose aux pays de l’Union européenne, au gré des arrivées des bateaux des passeurs et des O.N.G., une répartition et une relocalisation des clandestins, systématiquement présentés comme des « réfugiés ». Plusieurs pays, en particulier ceux de l’est de l’Europe, refusent avec réalisme ces propositions (3). On ne peut pas en dire autant du gouvernement français.

Commentaires

  • Tant que les clandestins seront plus heureux chez nous à ne rien faire, qu'à travailler chez eux, l'invasion ne cessera de progresser bénéficiant de la complicité d'ONG, des grands média, et de la plupart des restes des partis politiques, et de gouvernements qui trahissent leur peuple

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