Demain, ne manquez pas notre Éphéméride du jour...
En plus de tout le reste, elle essaie de bien mettre en évidences les responsabilités énormes de Clemenceau dans la poursuite de la Guerre, alors qu'une paix séparée était possible avec l'Autriche presque dès le début de celle-ci.
Mais par son anti-catholicisme haineux, forcené et idéologique, Clemenceau préféra "casser" l'Empire Austro-Hongrois - qui était, contrairement aux apparences, notre allié naturel contre la Prusse - alors que, dans le même temps, par sa germanolâtrie/prussophilie héritée des Encyclopédistes, des Révolutionnaire, des républicains et des deux Empires, il refusa de "casser" l'Empire allemand, notre véritable ennemi mortel, qui n'avait même pas cinquante ans d'existence !...
C'est Maurrras qui a raison : Clemenceau ne reste pas comme "le Père la Victoire" mais comme "le Perd la Victoire" : il a agi contre les intérêts vitaux du Peuple français, en intelligence avec l'ennemi... alors que l'Action française et tous les patriotes demandaient le démembrement de l'Allemagne.
Hitler, vingt ans après le calamiteux Traité de Versailles de Clemenceau, n'est que le fruit pourri d'une politique pourrie et anti nationale...
lafautearousseau