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Cette caricature résume à merveille l'impasse dans laquelle le Tartarin de Tulle s'est fourvoyé. Au lieu de centrer son énergie sur les myriades de maux dont souffre structurellement ce pauvre pays, il se lance dans des aventures extérieures, espérant y glaner quelques lauriers et redorer sa réputation à ce jour totalement démonétisée. Piètrement conseillé par un vizir dédaigneux, qui voit en son maître un usurpateur, il est prêt à toutes les extravagances. Le socialisme dans cette farce de boulevard n'est qu'un prétexte pour abuser les masses, le riche faisant office de grand méchant loup. Encore une fois se vérifie l'adage latin : " Nihil novi sub sole".
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Cette caricature résume à merveille l'impasse dans laquelle le Tartarin de Tulle s'est fourvoyé. Au lieu de centrer son énergie sur les myriades de maux dont souffre structurellement ce pauvre pays, il se lance dans des aventures extérieures, espérant y glaner quelques lauriers et redorer sa réputation à ce jour totalement démonétisée. Piètrement conseillé par un vizir dédaigneux, qui voit en son maître un usurpateur, il est prêt à toutes les extravagances. Le socialisme dans cette farce de boulevard n'est qu'un prétexte pour abuser les masses, le riche faisant office de grand méchant loup. Encore une fois se vérifie l'adage latin : " Nihil novi sub sole".