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Chaque vendredi, retrouvez TF1 News, qui nous offre les petites phrases qui ont fait la campagne…

        Mardi, dans Le Parisien-Aujourd'hui en France, le sénateur ex-PCF, Robert Hue accuse Jean-Luc Mélenchon, le candidat du Front de gauche,  de diviser le PS en se lançant dans une surenchère "extrêmement dangereuse"  :  "Avec quelques bons mots assassins, il (Jean-Luc Mélenchon) veut alimenter le doute sur Hollande... Mélenchon est dans une dérive sectaire ".

Invité sur France Inter, le même jour, la réponse de Jean-Luc Mélenchon ne s'est pas faite attendre : "Je comprends parfaitement qu'étant en quelque sorte le nouveau bagage accompagné du PS, élu par lui, présent sur ses listes, il fasse l'office pour lequel il est mis en place".

Après les poids lourds de gauche, place à la bataille des filles de l'UMP. Interrogée sur LCI sur les propos de Rachida Dati à son égard, la porte-parole parole de l'UMP, Nadine Morano, a répliqué : "préférer consacrer toute son énergie à combattre ses adversaires que de discuter tirage de nattes." 
 
        Mercredi, dans une interview à TF1 News, le député PS, Jean-Christophe Cambadélis, s'interroge sur les relations franco-allemandes : "Est-on obligé de se faire hara-kiri parce que Merkel est dans le dogmatisme ?".  

Le même jour, le bouillant député PS, Arnaud Montebourg, n'est pas en reste et déclare sur Public Sénat : "Madame Merkel a décidé d'imposer à la zone euro un ordre allemand", elle fait une "politique à la Bismarck" pour "imposer sa domination", ajoutant qu'elle est en train de "tuer elle-même la zone euro".

Réaction immédiate de Daniel Cohn-Bendit dans Le Parisien qui, même s'il reconnaît que :"l'hégémonie de l'économie allemande pose un problème", le député PS pousse le bouchon un peu loin :"Montebourg sombre dans le nationalisme au clairon qui ne sert qu'à  raviver des sentiments qu'on croyait définitivement derrière nous. C'est du mauvais cocorico. Il fait du Front national à gauche."

        Jeudi sur RTL, interrogé par Jean-Michel Apathie, sur sa difficulté à "peser dans le débat tout en préparant son ralliement à Sarkozy", Jean-Louis Borloo a simplement répondu : "Je suis parfaitement indifférent à la société du commentaire".  

Commentaires

  • La démocratie ce n'est pas la série TV DALLAS, mais un univers PITOYABLE!!!!!!!!!!
    Pendant combien de temps les Français vont-ils encore supporter cette indigence

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