Conférences d'Yvan Blot
Ce soir, à Paris, a lieu la Conférence n° 8 du cycle 2010/2011 d'Yvan Blot :
La question du contrôle de la constitutionnalité.
Ne disposant pas de l'info auparavant, nous n'avons pas présenté plus tôt ce Cycle de conférences : nous donnons ci-après le tableau récapitulatif, avec les détails pratiques (lieux, horaires); rappelons qu'Yvan Blot est Président d'Agir pour la démocratie directe (site www.democratiedirecte.fr ; adresse : atheneion@free.fr ).
INSTITUT NEO SOCRATIQUE AGIR POUR LA DEMOCRATIE DIRECTE
Conférences d’Yvan BLOT, 2010-2011
LA DEMOCRATIE DIRECTE
SOLUTION AUX BLOCAGES POLITIQUES ?
« Le mal de notre démocratie est de ne pas en être une.
Le peuple est nominalement le seigneur souverain mais il n’a en réalité rien à dire »
Hans H. von Arnim, « Das System », Drömer Verlag 2001
20 Septembre : Séance n° 1 : oligarchies et blocages : la solution de la démocratie directe ?
18 Octobre : Séance n°2 : le pays fondateur : la Suisse (et le Liechtenstein)
22 Novembre : Séance n°3 : les Etats-Unis d’Amérique
13 Décembre : Séance n°4 : l’Allemagne
17 Janvier 2011 : Séance n°5 : l’Italie
7 Février : Séance n°6 : l’explication du succès : le comportement du citoyen
14 Mars : Séance n°7 : chambres et antichambres : le rôle du parlement en démocratie directe
4 Avril : Séance n°8 : la question du contrôle de la constitutionnalité
16 Mai : Séance n°9 : la crise qui permet la réforme
6 Juin : Séance n°10 : le cas français ; vers une réforme indispensable.
Toutes les conférences ont lieu à l’hôtel Néva,
14,rue Brey 75017 Paris (près de l’Etoile) à 19H30.
Commentaires
Le peuple est souverain, cela signifie que c'est du peuple que procèdent la puissance publique et les lois. Les gouvernants ne peuvent donc être que des agents d'exécution, qui doivent se conformer aux fins déterminées par la volonté générale.
Par exemple, le "contrôle de constitutionnalité" n'existe pas en Suisse, où les citoyens peuvent, s'ils le souhaitent, faire évoluer la constitution par référendum, pour la rendre conforme à la volonté générale.
Le peuple peut aussi souverainement approuver une
constitution, la loi fondamentale, par laquelle il remet entre
les mains du Roi, une part de souveraineté, son incarnation
et la possibilité d'un arbitrage entre ces différentes
composantes et intérêts qui le composent, dans le souci du
bien commun (la res-publica), selon le principe monarchique
qui s'inscrit dans la durée conformément à l'ordre
constitutionnel de succession dynastique.