Humeur : Après un match nul, mais vraiment nul...
Eh non, en sport non plus, l'idéologie, ça ne marche pas. Il vient encore d'en faire la enième expérience, ce pauvre Domenech, qui traîne et se traîne depuis des années avec des résultats poussifs et des scores affligeants obtenus par son équipe idéologique, parfois face à des équipes pourtant bien modestes....
Depuis qu' "on" a pris en otage le ballon rond pour imposer l'idéologie immigrationniste officielle, il est clair que l'équipe de France ne gagne plus, ne marche plus (doux euphémisme...). Tout le monde sait bien que les autorités politiques ont confié à Domenech, piètre entraineur, aux mauvais résultats qui s'enchaînent, une mission bien particulière. Et que celui-ci l'a acceptée, en toute connaissance de cause: persuader les Français des bienfaits du métissage. En gros, montrer que sans les joueurs d'une certaine couleur, d'une certaine religion, et origianires d'une certaine zone géographique, la France ne gagnait pas. Et donc privilégier ces joueurs, aux détriments d'autres, même plus doués.
Ce calcul pourrait à la rigueur avoir une apparence de cohérence si, depuis que Domenech est là, et depuis qu'il impose ses choix, la France trustait les premières places, les coupes, les championnats et tout le toutim. On en est loin. En fait de premières places, nous y sommes souvent, mais du côté des dernières.....
Mais cela n'altère en rien le discours du parfait petit idéologue Raymond Domenech. Il a beau voir, match après match, ses équipes poussives -pourtant payées des millions...- se faire sortir ou tenir en échec par de petites équpes, il n'en démord pas. Après le match nul, vraiment nul, contre la Roumanie, qu'a-t-il trouvé à dire ? "Que faire de plus ?...", "L'équipe fait ce qu'il faut...", "Donc, ça viendra...."
Mais, justement, non, ça ne viendra pas. Tout simplement parce que, si l'équipe fait vraiment ce qu'il faut, comme semble vouloir s'en convaincre Domenech, à force de le répéter (on appelle cela le psitaccisme...) et si on ne peut rien faire de plus, alors c'est que soit l'entraineur, soit les joueurs, soit les deux sont mauvais ou, ne soyons pas méchants, ne sont pas à la hauteur. Et qu'il faut les changer. Car, là, Domenech est en train de prouver exactement l'inverse de ce qu' "on" lui avait demandé de prouver au départ: il fallait prouver la supériorité du métissage, il montre qu'à l'inverse l'équipe de France perd et déçoit depuis qu'elle est majoritairement (et, selon les rencontres, très majoritairement) monocolore, avec une forte proportion de joueurs d'une certaine religion, et originaires d'une certaine région du monde.
En plus de cette première explication d'ordre idéologique, il y a selon nous une deuxième raison aux mauvais résultats de l'équipe nationale et de son entraineur. C'est Bernard Tapie qui l' adonné, un jour. Celui qui gagne, c'est celui qui a le plus faim, c'est celui qui va la chercher, la victoire.
Ont-il faim, ces jeunes joueurs qui, dès leurs vingt ans, gagnent des millions d'euros (sans compter les gains dérivés...), et atteignent très vite des revenus colossaux et -disons-le- indécents ? La réponse, évidemment, est non. Ils n'ont plus faim parce que, tout simplement, ils sont gavés: gavés de fric, de "gloire" -au moins officielle et d'apparence-
De ces deux maux - le trop de fric et l'idéologie du métissage - il faut libérer le sport, en général, et le ballon rond, en particulier....