Sur le site officiel de l'Action française, Bustes pour mairies, l’éditorial de François Marcilhac.

« La Confédération générale du Travail est, elle-même, cause seconde et non cause première ; elle emploie toutes les armes qu’elle possède pour se défendre, mais l’agression ne vient pas d’elle.
L’agresseur, le coupable, le responsable, c’est le gouvernement de M. Clemenceau ; avec lui et derrière lui, le régime démocratique, le régime républicain. Vérité que l’ouvrier parisien comprend désormais. La pendaison de Marianne devant la Bourse du travail est l’acte le plus significatif de notre histoire depuis le 14 juillet 1789. Bourgeois conservateurs, le comprendrez-vous ? »