Maurras est mort, vive Maurras !
Nous avons constaté que la dernière demeure de Charles Maurras a été souillée par les « faux antifas mais vrais terroristes » qui, n’écoutant que leur courage et leur bravoure, se sont attaqués à de la pierre et à du marbre. L’histoire ne dit pas si la pierre et le marbre (forcément fascistes !) ont provoqué les courageux militants antifascistes…
Il n’en demeure pas moins que les idiots utiles du système en ont profité pour faire étalage de leurs talents artistiques et pour taguer un subtil « À BAS L’AF ! ».
À la Rédaction, cet atelier peinture niveau maternelle nous a rappelé les projets d’art des valeureux « antifas » à l’époque où l’Action française Marseille détenait son QG rue Navarin.
Le principe était simple : les antifas décoraient la porte d’entrée, les murs de la rue Navarin de délicates attentions. Les militants royalistes Marseillais découvraient, à leur retour, l’expression artistique « populaire » qui se faisait bien entendu de nuit ; officiellement pour des raisons d’inspiration artistique, officieusement pour ne pas se faire courser dans tout le quartier par les royalistes…
On citera, pêle-mêle, des tags de menaces de mort aux militants, une grenade sur la porte du local, une balle d’AK-47 dans la boîte aux lettres, des slogans antifa ou encore la destruction de la porte du local d’à côté (comprenez les, ils ne sont pas tous capables de faire la différence entre le 12 et le 14 de la rue Navarin).
Comme dans les aventures d’Asterix et Obélix, les Romains attaquaient systématiquement le village gaulois d’Action française, et comme d’habitude, ce sont les antifas qui nous gratifiaient d’un sprint digne d’Usain Bolt en hurlant ensuite aux « violences fascistes ».
D’une anecdote à l’autre, on s’est souvenu de l’un de leurs chefs, ayant ses habitudes « en terrasse » déclarer à la presse : « Avec eux, la violence, on a essayé. Ça marche pas… ».
Il faut croire que les « antifa », déjà champions de 100 mètres, spécialistes d’arts plastiques, ont décidé de mener une action d’éclat tout en ménageant les hommes et le matériel.
Une tombe ne rend pas les coups, un militant royaliste, si.
C’est dire la couardise de l’acte…