Au cinéma : Burning days, par Guilhem de Tarlé
Les Survivantes, un film de Pierre Barnérias, interdit aux moins de 16 ans.
"Entende qui a des oreilles !"
C'est la conclusion de la parabole du Semeur rapportée par Matthieu.. et, à sa manière, Pierre Barnérias sème une parole sur les réseaux de pédocriminalité.
En novembre dernier j'avais recommandé le thriller américain excellent, "Sound of freedom", sur ce même sujet, dont on dit qu'il constitue le 2ème trafic international après la drogue..
Huit "Survivantes" témoignent à visage découvert sur l'inimaginable, l'inaudible..
De la chasse-à-l'enfant (à balles réelles) à la décapitation, en passant par les viols, les sévices sexuels, les tortures physiques et psychiques, elles ne montrent rien (aucune image choquante) mais elles disent tout, ou presque.. Difficile, dans ces conditions de "recommander" ce documentaire, mais le taire serait être complice des criminels et donc coupables de ces crimes.
Elles parlent de franc-maçonnerie sataniste (n'est-ce pas un pléonasme ?), de ces barbares de tous milieux, dans toutes les strates de la société, y compris politiques et religieuses, et de l'omerta qui régit toutes les mafias.
Bien évidemment, parmi ces témoins, il doit y avoir des "illuminées", des victimes qui délirent et fantasment.. Tous leurs propos ne peuvent pas être Parole d'Evangile, mais cela ne nous autorise pas à entrer dans le déni.
On ne peut pas croire en Dieu, sans croire à Satan.
Quand on approuve, on accepte, à tout le moins on tolère que les "Gentils" inscrivent l'avortement - le meurtre - dans la constitution, comment ne pas imaginer que les "méchants" fassent pire ?
Voir et parler de ce long-métrage, c'est déjà combattre la pédocriminalité.