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Mario Draghi s’en va et le krach se rapproche : l’assurance-vie sous pression par Marc Rousset

« Super Mario » quittera la BCE le 1er novembre sans rendre le casque à pointe prussien que lui avait offert le journal Bild, après s’être bien payé la tête de l’Allemagne, puisqu’il a pratiqué une politique monétaire diamétralement opposée à celle de rigueur sur laquelle il avait été élu.

« Donner, c’est donner », a-t-il pu même ironiser au sujet du cadeau de Bild, dans la langue de Goethe. Il est vrai que « le comte Draghila » a sauvé momentanément la France et l’Italie de la faillite, mais ce n’est que partie remise en pire.

Le président de la Bundesbank Jens Weidmann est le cocu magnifique de l’histoire, d’autant plus qu’il s’est fait voler le poste de président de la BCE par Christine Lagarde, une diplomate juriste sans formation économique.

 

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