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Prince Jean de France : La succession dans la Maison de France obéit à des règles bien précises

 

Communiqué  du 1er août 2016

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La succession dans la Maison de France obéit à des règles bien précises. Leur objet est de pouvoir renouer un jour, si les Français le veulent, le pacte national.

Ces règles ont été formalisées par mon grand-père, le Comte de Paris. L'acte enregistré en 1981, dont je joins copie, sur la non successibilité de mon frère aîné François, règle la question.

J'assumerai, après mon père, la responsabilité de chef de la Maison de France à laquelle je suis appelé, au service de la France et des Français. 

 

Trébons-sur-la-Grasse, le I« août 2016

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Postscriptum

La mise en place d'une Régence et / ou d'un Conseil de régence est sans valeur. Etant devant la loi le tuteur de mon frère, je ferai tout pour qu'on le laisse en paix et qu'on ne l'utilise pas.

François reste mon aîné, et je continuerai à m'occuper de lui comme je l'ai toujours fait. Il a été à mes côtés autant que cela était possible et le restera autant que Dieu nous prête vie.

 

Copie de l'acte du 25 septembre 1981 

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SITUATION DYNASTIQUE DE SON ALTESSE ROYALE

LE PRINCE FRANCOIS D'ORLEANS, FILS DE FRANCE

 

ACTE 

thRMPHHY1W.jpgPar suite de son handicap profond et sans espérance de guérison, et tel qu'il est médicalement et judiciairement établi, mon petit-fils aine le Prince François de France ne peut et ne pourra exercer aucune responsabilité. En conséquence, ses droits dynastiques et les devoirs et obligations qui en découlent se trouvent, suivant le droit dynastique français, transférés à son frère venant après lui par ordre de primogéniture, c'est-à-dire, à mon petit-fils le Prince Jean de France et à sa postérité mâle et, à défaut de celle-ci ensuite à mon petit-fils le Prince Eudes de France et à sa postérité mâle.

Par suite de cette situation il ne sera attribué aucun titre particulier au Prince François de France et celui-ci sera appelé : "Son Altesse Royale le Prince François d'Orléans, Fils de France".

Si, après mon décès, il était procédé autrement toute décision tendant à modifier ce qui précède serait nulle et sans effet.

Henri,

Comte de Paris 

Chantilly, le 25 septembre 1981

 

Source : Prince Jean de France, Site officiel

Commentaires

  • Sur ce sujet délicat, comme sur d'autres sujets de politique intérieure ou étrangère, le Prince, "l'héritier des siècles", vient de parler, et de bien parler. Il fait preuve d'une sagesse ferme, il rappelle le droit, et ses propos - dans la ligne de feu le Comte de Paris - sont frappés au coin du bon sens et de la raison. Une fois de plus, nous avons la démonstration d'une présence intelligente et volontaire à nos côtés, ce qui est de bon augure. Bien évidemment, aujourd'hui comme hier, notre devoir de Français et de royalistes est de nous regrouper autour du Prince, de l'aider autant que nous le pouvons, dans tous les domaines...

  • Il n'y a rien à ajouter ni rien à retrancher au commentaire de François Davin. Le Prince a besoin de nous et que nous nous avons besoin du Prince.

  • Je partage pleinement les commentaires qui précèdent. L'espérance royale en France porte le nom d'une famille légitime, des visages dynastiques et une volonté exprimée par le Prince Jean de France qu'il appartient aux français de voir et faire accomplir.

  • il est évident que ceci a été établi avec bon sens et raison. Et si cela doit se faire, il adviendra!
    Comte Michel de Gand

  • Le bon sens, le sens dynastique, la volonté royale, c'est ce qui me paraît marquer le communiqué du Prince. Il incarne, de toute façon, par delà toute considération de droit, l'avenir de la Maison de France et de l'espérance royale. Et après lui, ses fils Gaston et Joseph. Les royalistes, entre autres, le soutiendront avec affection. ,

  • Ce communiqué auquel est joint une copie d'un acte authentique constitue une décision importante du prince Jean de France. La teneur du message est sans ambiguïté et a le mérite de clarifier enfin les choses.

    Dans la situation où se trouve notre pays, je pense que la Maison de France a en effet, mieux à faire que d'organiser une régence. Un prince capable de régner doit être là près des Français, disponible pour la nation, en âge et en capacité d'exercer les responsabilités d'un roi.

    Monseigneur le prince Jean de France a franchi le pas et le mouvement royaliste en tirera les plus grands bénéfices. C'est sans doute le moment de proposer aux Français une alternative à la cour du roi Pétaud qu'est devenue cette triste république et c'est peut être une des raisons de son initiative.

  • Bravo, Ribus. Vous faites un peu les questions et les réponses, mais je suis à fond d'accord avec vous. Soyons sérieux, soutenons le Prince et tentons un royalisme intelligent.

  • Je suppose que le douteux rastaquouère qui occupe en ce moment la fonction de prétendant, et que son père, le grand Comte de Paris avait souhaité écarter de sa succession, cherche actuellement des noises à son fils Jean... Est-ce que c'est ça ?

  • Nous ne le dirions pas de cette façon-là, mais c'est le fait. Regrettable mais à quoi le Prince vient d'apporter une réponse claire et déterminée. Nous l'avons publiée sans commentaire aucun parce que nous approuvons et soutenons pleinement le Prince.

  • "La succession dans la Maison de France obéit à des règles bien précises. Leur objet est de pouvoir renouer un jour, si les Français le veulent, le pacte national."
    " Si les Français le veulent" . Nous dit le Prince. Et si Dieu le veut ! Vox populi, Vox Dei. Toute la question n'est-elle pas de libérer le peuple, de la magistrature sinistreuse qui prétend encore parler pour lui....alors qu'elle perd manifestement son ancienne prééminence , comme Rocard l'a reconnu.

    La seule présence du Prince est déjà un espoir immense pour la France , largement apostate...

  • N'allons pas chercher midi à quatorze heures, ni ranimer - sur la toile ! - de vieux souvenirs. Le communiqué du Prince est très clair. Il affirme sa vocation de Chef de la Maison de France, après son père. Il en rappelle l'objectif qui est, s'il se peut, de renouer le pacte national. Avec lui, la Maison de France sera cette fois-ci en de bonnes mains. Qui doivent être libres de décider royalement. Cela est l'essentiel. Cela suffit. Réjouissons-nous, remercions le Prince Jean de sa détermination fortement réaffirmée ici. Et, pour le reste, travaillons intelligemment. C'est la part qui nous revient. Essayons d'être à la hauteur !

  • La Vè République est en très mauvais état et de nombreux Français s'interrogent avec raison sur son devenir. Les successeurs du général de Gaulle ont saccagé le bel édifice et cette république est désormais un dépotoir.

    A cela, il faut ajouter la soumission de nos « gouvernants » à des puissances extérieures voire ennemies dont la liste est longue, très longue...De plus, leurs petits bricolages constitutionnels ont brisé les grands équilibres, le pire ayant été l'abandon du septennat au profit du quinquennat.

    Ainsi, en l'état actuel des choses, ce n'est pas le Premier ministre qui est inutile, c'est le président de la République lui-même puisqu'il n'est plus arbitre mais simple chef de gouvernement. Donc, à la place, il faut un roi, un vrai, en charge des principes fondamentaux de la nation.

    Mais ces simples constats seront insuffisants pour sortir du régime républicain. Les républicains et les socialistes qui sont souvent les mêmes ne vont pas offrir le trône à un roi même si la France est à feu et à sang.

    Il faut donc à mon humble avis une véritable offre constitutionnelle. Or, le mouvement royaliste existe bien mais est très dispersé. Le discours politique en faveur de la Monarchie est décousu et manque d'une incarnation réelle ; non un prince qui assume le rôle comme aujourd'hui mais un prince jeune dont le peuple puisse croire qu'il devienne, un jour, roi. Après son communiqué, ce prince, nous l'avons.

    Aussi, avant de rêver à la restauration, il faudrait, à mon avis, que les mouvements royalistes cessent de se disputer et se retrouvent autour d'une table pour réfléchir à un projet politique visant à créer une monarchie parlementaire. Pour que cela soit réalisable, il est impératif qu'un prince incarne ce projet pour offrir aux Français une alternative constitutionnelle plausible.

    Je sais que certains vont protester mais, il est impossible de concevoir une Monarchie comme celle de Louis XIV après 2 siècles de république. Le modèle anglais me paraît le plus accessible mais avec nos règles propres

    Mais cela suppose d'abord de mettre de côté les discordes actuelles et les vieilles querelles et de renouer avec un peu de réalisme politique.

    La situation désastreuse de la République est une réelle opportunité.

  • Viendra le moment et le lieu de discuter du mouvement royaliste français. Je crois que ce n'est pas ici le sujet et que mieux vaut ne pas mélanger les plans.

  • A. Grimaud prône le prudence et la tempérance. Il a raison. Il ne faut pas prendre les rêves pour des réalités prochaines. Pour autant, M. Ribus exprime un point de vue important sur la nécessité pour les royalistes de cœur et de raison de se ré-unir sur un objectif réaliste.

  • Cher Ribus,

    Cela fait bien des années que personnellement, je dis la même chose sur ce site et ailleurs, mais les sourds ne semblent pas avoir d'oreilles, quant aux yeux ???!!! Sans aucune animosité mais les royalistes français du XXIème feraient bien de s'inscrire dans leur siècle, s'ils veulent encore espérer jouer un rôle, ce qui n'exclut pas de connaître d'où l'on vient et d'en tenir compte pour l'avenir. Un Roi, une Constitution et un projet de société sinon rien.

  • Au moment où le Prince affirme une détermination dynastique qui se situe très au dessus des problèmes existentiels du mouvement royaliste, j'aurais souhaité, pour ma part, que l'on s'en tienne à ce sujet en tant que tel et que l'on ne mélange pas les plans.
    La détermination du Prince à assumer, après son père, la fonction pleine et entière de Chef de la Maison de France doit être saluée et soutenue. Sans plus.

  • Pour répondre à A. GRIMAUD, il ne s'agit pas de problèmes existentiels du mouvement royaliste : il s'agit, hormis se réjouir que le Prince ait la volonté de prétendre, de savoir, sur un site royaliste, ce que cet engagement nous inspire, en tant que royalistes, quant à nos actions concrètes pour le soutenir, en toute indépendance, sur le plan de la réflexion politique. Si le Prince n'est pas le chef des royalistes, mais le Prince de tous les Français à leur service, et à celui de la France, c'est bien à nous cependant, qu'il appartient également, d'amener les Français à concevoir l'avènement de la Royauté en France, et sa ré-instauration au XXI ème siècle. Ce n'est sûrement pas les partis politiques actuels, de droite comme de gauche, qui vont prôner cette solution.

  • Les points de vue qui ressortent des échanges qui précèdent (cf. entre Ribus, A. Grimaud et DC en particulier) ne s'excluent pas. Ils se complètent et sont plutôt réjouissants dans leurs perspectives.

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