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Le milliard des immigrés, par Louis-Joseph Delanglade

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Tout augmente, même lAide Médicale dEtat (A.M.E.) : plus précisément, de soixante-treize millions deuros en 2015, soit près de 10% daugmentation, pour sapprocher désormais des sept cent cinquante millions deuros. Et ce nest pas fini : lobjectif plus ou moins avoué fixé par les « associations » est le milliard deuros. Un milliard deuros pour soigner gratuitement tous les immigrés clandestins à qui il suffit de se présenter à lhôpital. 

Certes, ce milliard peut paraître dérisoire en comparaison des deux mille milliards deuros atteints par la dette publique. Ce qui effraie le plus, cest, semble-t-il, moins lexistence même dune dette que son montant. Pourtant, M. Lenglet a pu se risquer à prédire, sur France 2, que, selon toute probabilité, cette dette ne serait jamais remboursée stricto sensu. Peut-être, comme tant dautres par le passé, disparaîtra-telle dans le maelstrom historico-financier. Ce qui ne dispense pas de revenir à une gestion plus saine et plus équilibrée des comptes publics.

 

Les chiffres officiels annuels se passent de tout commentaire : les dépenses publiques culminent à 57% du P.I.B. et le taux des prélèvements obligatoires à 47%; le service de la dette à une quarantaine de milliards et le déficit du commerce extérieur à une soixantaine. L’état des lieux est calamiteux : trop de chômeurs (plutôt cinq que les trois millions « officiels »), trop dimmigrés (pour un coût moyen annuel estimé à 55 milliards deuros), sans doute beaucoup trop de fonctionnaires (six millions), et de toute façon mal employés  

 

Certaines causes sont parfois dénoncées (la fuite en avant socio-fiscale qui plombe les classes moyennes, la complexité administrative qui constitue un frein pour lesprit dentreprise, le syndicalisme dautant plus virulent quil est peu représentatif), parfois occultées (comme les choix « idéologiques » désastreux du grand patronat français, farouchement immigrationniste puis mondialiste et délocalisateur).

 

Mais toute réforme systémique denvergure suppose dabord, on a tendance à loublier, un minimum de consensus, et, par voie de conséquence, dans le cas de la France, un Etat libéré des pesanteurs partisanes et idéologiques et inscrivant son action dans la durée longue. Seul un état « fort » pourra permettre la remise en question des vaches sacrées du libéralisme et de la social-démocratie conjugués.

 

A quand un budget qui naccordera par principe pas un centime daide, et encore moins un milliard deuros, à des parasites, fussent-ils des clandestins ?   u

Commentaires

  • travaux sur le chantier méthanier de DUNKERQUE
    1691 salariés, dont 33% de Français, donc 77% d'étrangers européens. de quelle origine????????????????????
    source presse locale

  • Bien un raciste de base ça. Même pas capable de compter jusqu'a 100 %.

  • On ne peut qu’être frappé, de voir comment les réseaux " sans-papiéristes" de l’extrême gauche, qui croient trouver dans les immigrés un prolétariat de substitution, servent les intérêts du patronat.

    Réseaux mafieux, passeurs d’hommes et de marchandises, grands patrons, militants "humanitaires", employeurs "au noir " : tous sont adeptes de l’abolition des frontières du libre-échangisme mondial.

    Qui critique le capitalisme en approuvant l’immigration, dont la classe ouvrière est la première victime, ferait mieux de se taire. Qui critique l’immigration en restant muet sur le capitalisme devrait en faire autant.

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